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 FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeMer 17 Mai - 15:39

C'est l'heure du Barça
Article du 17-05-2006

L'équipe de Rijkaard aspire à reprendre le flambeau de la Dream Team en gagnant ce soir devant Arsenal le second trophé de Champion's League. Aprés une traversée du désert, le trône européen est à un seul match. Paris assiste au face à face le plus attendu : Ronaldinho contre Thierry Henry.


Finalement est arrivé le 17 mai, le jour marqué depuis des mois dans le calendrier de tous les culés. Après 246 jours de compétition dans la Champions League, mais, après des années de traversée du désert, de sécheresse interminable et insupportable dans le tournoi européen, le Barça est retourné surtout avec une force de champion pour récupérer le règne continental qu'avait donné la Dream Team.

C'est le témoin de ce grand collectif, celui qu'a repris le groupe de Rijkaard en dévoilant un jeu spectaculaire. Mais le football est terriblement cruel et sans victoire il n'y aura pas de trône. Milan et Chelsea ont fini dans les fossets du chemin, mis en échec par une machine parfaite. Ce soir seulement Arsenal peut arracher au Barça ce qu'il mérite depuis une longue saison. La grande finale dictera la sentence.

La ville idéale
Paris est la ville parfaite pour presque tout, ils le savent, Thierry Henry, né là il y a 28 ans, et Ronaldinho, qui a résidé là-bas pendant deux saisons et demi. Le football va sûrement par un bon chemin parce que tous les deux sont arrivés à la finale en affichant celui-ci baptisé commercialement comme 'jogo bonito'.

Ces équipes respectives possèdent des manières de comprendre le football (celles de Wenger et de Rijkaard) qu'ils leur donnent la liberté de se déplacer à leurs rythme, d'exposer leurs répertoires. Ronaldinho est le numéro un, le crack qui ne tremble jamais, spécialement dans les grands rendez-vous comme celui d'aujourd'hui. Henry, simplement, joue à la maison. Quel meilleur emplacement pour briller. C'est pourquoi le Barça-Arsenal est, en outre la confrontation entre deux blocs trés travailleurs, le combat pacifique entre deux figures de portée planétaire, même si ceux-ci ont maintes fois refusé dans la veille de le considérer ainsi.

Se mesurent aujourd'hui deux équipes qui partagent la joie du ballon mais qui ont ajouté à leurs principes celui de la solidité défensive. Cette maturité les a sûrement portées à la fin du chemin. Le jeune groupe de Wenger a été transmuté au Bernabéu, rendu plus grand en dépit de l'inexpérience de ses membres en laissant leur gardien invaincu, de la réalisation qu'ils ont répété rien de moins que dans ses dernières six rencontres. Sans ce sérieux ils n'auraient pas battus ni la Juve ni Villarreal.

Le Barça a trouvé l'équilibre il y a davantage de temps, mais en attaque sa capacité est plus grande (elle est l'équipe goleador de la compétition) parce qu'ils ont plus d'hommes avec un pouvoir de finition qu'Arsenal. Samuel Etóo a un appétit insatiable, Deco tire à chaque bonne opportunité et Ludovic Giuly, à qui le destin a procuré l'occasion d'être revendiqué dans la capitale de son pays après l'injustice de son selectionneur, a déjà démontré à San Siro le danger de sa hargne.

Sauf surprise capitale, les deux techniciens probablement les plus instruits d'Europe, disposeront de deux onzes qu'ils ont en tête depuis plusieurs jours. Messi n'est pas arrivé à temps et Xavi n'a pas compté de matchs suffisants pour contester le poste d'un grand Iniesta.


La justice du football
On parle de début de cycle pour le Barça, d'augmenter à deux les nombres de Coupe d'Europe bien qu'il soit seulement à la hauteur du potentiel social du club centenaire azulgrana. L'ancien socio a vécu en outre trop de bas et mérite la joie. Pour tout cela et beaucoup plus, le rêve collectif du barcelonisme implique de voir le capitaine Carles Puyol lever le trophée. Comme a dit hier Luis Enrique, transformé en socio de plus, ce soir "il manque seulement que le football soit juste"

Traduction : FC Barcelona Clan
Source : Mundo Deportivo
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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeMer 17 Mai - 15:39

VRAIMENT GALACTIQUE
Par Cédric ROUQUETTE

Barcelone et Arsenal se retrouvent ce soir en finale de Ligue des champions au Stade de France. Les deux clubs peuvent sublimer leur vitrine à trophées : Arsenal n'a jamais gagné la C1. Barcelone, une fois. Arsène Wenger peut devenir, à Paris, le premier entraîneur français sacré.


La révolution Arsenal

Barcelone - Arsenal en finale de la Ligue des champions, ça sonne comme une évidence, mais ça ne l'est pas. Les deux clubs mesurent leur chance mieux que le reste du monde. Sur les cinquante premières finales de C1, Barcelone n'a inscrit son nom au palmarès qu'une fois, en 1992. Arsenal, jamais. Un an après Istanbul, où Liverpool et Milan avaient disputé la finale la plus prestigieuse de l'histoire (dix C1 sur le terrain), Barcelone et Arsenal vont investir le Stade de France avec une confiance des cadors et une faim de jeunes loups. Les deux clubs n'ont pas attendu 2006 pour se donner une vraie dimension internationale. Ils ont profité des soeurs de la C1 pour se bâtir un palmarès (4 C2 et 3 C3 pour le Barça, une de chaque pour Arsenal). Mais c'est dans la reine des compétitions internationales qu'ils rêvent de voir couronnées, ce mercredi, leurs philosophies respectives.

Barcelone, sa Dream Team, jumelle dans l'esprit de celle construite par Johan Cruyff, a pris cette saison une dimension impressionnante sous la baguette d'un autre Batave, Frank Rijkaard. Génie offensif et rigueur défensive se conjuguent le plus souvent quand Barcelone entre dans l'arène. Chelsea, qui a terminé 24 points devant Arsenal en Angleterre, en a fait les frais en huitièmes (2-1, 1-1) sans parler du Milan en demi (1-0, 0-0). Arsenal de son côté, l'année où elle semblait partir de trop loin, a explosé sous l'effet d'une jeunesse sans complexe et, là encore, impeccable en défense. «Notre équipe a certainement provoqué une sorte de renouvellement de pensée en Europe, ose à ce sujet Arsène Wenger. On a toujours dit que pour exister en Ligue des champions, il fallait être très expérimenté. On a quand même prouvé qu'avec une équipe très très jeune, on pouvait négocier des matches de très haut niveau. Quelque part, ça a provoqué une petite révolution», que Marcello Lippi avait saluée dès le mois dernier. Le Real Madrid et Villarreal, deux autres clubs espagnols, sont passés à l'échafaud.


Ronaldinho et Eto'o contre une forteresse

La faculté d'Arsenal à maintenir sa fabuleuse série d'inviolabilité sera l'une des clefs de la partie. Plus de dix matches sans but encaissé, soit 919 minutes, c'est historique. Et c'est un défi lancé au meilleur joueur du monde, Ronaldinho et à ses partenaires. Le Brésilien se sent chez lui à Paris mais garde deux souvenirs cuisants du Stade de France : en 2003, il y avait perdu une finale de Coupe de France avec le Paris-SG avant de quitter la Coupe des confédérations au premier tour avec le Brésil. Son partenaire Samuel Eto'o y avait inscrit un but splendide, et son adversaire Thierry Henry y avait forgé son titre de meilleur joueur du tournoi. Le possible avenir catalan de l'attaquant français ajoute un peu de sel à cette finale, qui n'est pas exempte d'enjeux nationaux. Ludovic Giuly tentera de prouver qu'il avait sa place dans la liste des 23, et Arsène Wenger pourrait devenir le premier entraîneur français à gagner la Ligue des champions, le troisième à remporter une Coupe d'Europe après Luis Fernandez et Gérard Houllier.

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeMer 17 Mai - 15:46

Finir en apothéose
17 mai 2006 - Par Benjamin Contant


Mercredi soir au Stade de France, la finale de Ligue des Champions clôturera la saison des clubs avant la Coupe du Monde. Pour ce sommet européen, l'affiche est alléchante et oppose le FC Barcelone à Arsenal. Une rencontre qui ne manquera pas de piquant avec le duel de stars entre Ronaldinho et Henry et deux équipes au parcours remarquable cette saison.

Les Catalans y sont. Douze ans après la déroute face au Milan AC (4-0), le FC Barcelone accède à la finale de la Ligue des Champions. La route vers le Stade de France n'aura pas été de tout repos pour les double Champions d'Espagne qui ont successivement éliminé Chelsea, le Benfica Lisbonne et le Milan AC. A chaque étape, le Barça a justifié son statut de favori, illustré par son rang de meilleure attaque européenne. «L'objectif est de travailler dur et de ne pas croire que c'est gagné d'avance. Ce serait notre perte. Comme toujours, nous tenterons de conserver le ballon et de travailler collectivement» prévient le capitaine blaugrana, Carles Puyol. Car si tout semble réussir au Barça cette saison, à l'image de Ronaldinho, étincelant Ballon d'Or, une finale peut révéler bien des surprises et tout le monde a encore en tête la rocambolesque finale de l'an passé et la défaite du Milan AC face aux outsiders de Liverpool. Si les Catalans sont sans conteste favoris, c'est aussi grâce à leurs qualités défensives et leur impact physique au milieu de terrain. L'escouade entraînée par Frank Rijkaard n'a ainsi encaissé que quatre buts dans la compétition. Une grande solidité et une capacité pour un effectif talentueux d'aller au charbon qui a permis de sortir Chelsea et le Milan AC au bout de rencontres fermées et très intenses, «Nous avons appris à nous adapter à chaque rencontre et à rester concentrés jusqu'au bout» explique Deco. Le Barça se pose donc en favori logique et espère conquérir le trophée pour la seconde fois de son histoire, après le triomphe de 1992.

Outsider, l'équipe d'Arsenal ? Visiblement, cela ne dérange pas plus que cela les Gunners, qui ont eu cette étiquette durant toute la compétition. Auteurs d'un début de Championnat décevant, jugés trop tendres pour les joutes européennes avec leur jeune effectif, les Londoniens n'avaient pas les faveurs des pronostiqueurs lors des huitièmes de finale contre le Real Madrid et la Juventus de Turin en quarts. Pourtant, Espagnols et Italiens sont passés à la trappe ainsi que Villarreal en demi. Voici donc Arsenal qualifié pour la finale, et de nouveau, leur adversaire endossera le costume de favori. Une répétition qui n'agace pas leur entraîneur, Arsène Wenger qui tient Barcelone en estime : «Ils sont des favoris nets, mais nous sommes des outsiders dangereux. Sur une finale, tu sais que tu as toujours à un moment donné une chance» . Si au contraire du Barça, Arsenal n'a rien remporté cette saison et s'est même qualifié dans la douleur pour la prochaine Ligue des Champions, les Londoniens sont en très grande forme actuellement. Neuf victoires lors des onze derniers matchs de Championnat et surtout une impressionnante série de neuf rencontres d'affilée en Ligue des Champions sans encaisser le moindre but. La jeune garde d'Arsenal (Eboué, Senderos, Flamini en défense, Fabregas au milieu, Reyes en attaque) est fin prête pour une bataille qui ne se limitera pas au simple duel vedette Ronaldinho – Thierry Henry. «C'est sûr qu'il y a les joueurs pour faire le show à Paris, mais l'important sera seulement la gagne» admet l'attaquant français, impatient d'offrir la Coupe aux grandes oreilles à Arsenal, ce que serait une première dans son histoire, avant peut être de partir sous d'autres cieux.

Les équipes

Une bonne nouvelle pour le Barça : le retour du jeune prodige Leo Messi, blessé depuis plusieurs semaines. Son état de santé reste incertain et l'international argentin débutera la rencontre sur le banc. Une convalescence qui profite à Giuly, de nouveau titulaire et qui aura à coeur de prouver qu'il méritait sa sélection avec l'équipe de France pour le Mondial. Iniesta sera préféré à Van Bommel dans l'entrejeu alors que le reste de l'équipe type sera aligné.

La jeune garde d'Arsenal sera de nouveau alignée dans le onze de départ, à l'exception de Flamini, relégué sur le banc par le retour de blessure de Cole, et de Senderos, dont la place en défense centrale profite à un Campbell en regain de forme. Dans l'organisation offensive, Reyes jouera en soutien d'Henry, Pires prendra place sur le banc alors que Hleb et Ljungberg seront chargés d'animer les côtés. A noter l'absence du sélectionné anglais surprise Theo Walcott, 17 ans, qui n'a pas été pris dans le groupe.

Les équipes probables

FC Barcelone : Victor Valdés - Oleguer, Marquez, Puyol (cap), Van Bronckhorst - Iniesta, Edmilson, Deco - Giuly , Eto'o, Ronaldinho.

Arsenal : Lehmann - Eboué, Touré, Campbell, Cole - Gilberto Silva - Hleb, Fabregas, Ljungberg - Reyes, Henry (cap).


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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeMer 17 Mai - 16:07

Le parcours de Barcelone

A la veille de la finale de la Ligue des Champions, mercredi soir au Stade de France, Sport24.com vous propose de retracer le parcours de chacun des deux finalistes. Premier volet avec le FC Barcelone.



Phase de groupes
Avec le Werder Brême, l’Udinese et le Panathinaïkos, le FC Barcelone avait hérité d’un groupe délicat et piégeux. Sur le papier du moins. Car sur le terrain, dès cette phase de groupes, le Barça a démontré qu’il était un cran au-dessus de tout le monde et qu’il faudrait compter avec lui pour la victoire finale. En six matches, les Catalans inscrivent 14 buts, balayant l’Udinese (4-1) ou le Panathinaïkos (5-0) et ne laissant en route que deux points, à Athènes (0-0). Au final, le Barça termine premier de son groupe avec 16 points, loin devant le Werder Brême (7).

Huitièmes de finale
Après leur balade du premier tour, les hommes de Frank Rijkaard se voient offrir une revanche du huitième de finale de la saison passée face à Chelsea. Eliminés après un double affrontement somptueux sur un but contestable de John Terry, les Catalans voulaient effacer ce mauvais souvenir. Pour la première manche de cette finale avant la lettre, les Blaugrana se rendent à Stamford Bridge. Sur une pelouse indigne d’une compétition comme la Ligue des Champions (avec du sable un peu partout), Ronaldinho et ses partenaires prennent un ascendant important en l’emportant (2-1), notamment grâce à l’expulsion de Del Horno en première période. Lionel Messi éclabousse la rencontre de toute sa classe et le Barça met un pied en quarts de finale. Au retour, au Nou Camp, c’est une formation espagnole moins joueuse, plus calculatrice, qui concédait un nul (1-1) suffisant pour poursuivre l’aventure. Seul bémol pour le Barça, la blessure de Lionel Messi qui manquera ensuite les quarts puis les demi-finales.

Quarts de finale
Dans le top 8 européen, Ronaldinho et sa bande retrouvent la surprise Benfica. Les Portugais, sortis du groupe de Lille, venaient de s’offrir le scalp du champion d’Europe en titre, Liverpool, éjecté sans ménagement dès les huitièmes de finale (1-0 et 2-0). Intrinsèquement supérieurs aux Lisboètes, les Barcelonais ne parvenaient cependant pas à trouver la faille à l’aller au stadio da Luz et trouvaient deux fois les montants de Moretto. Benfica n’était cependant pas en reste et aurait pu l’emporter sans quelques interventions bien senties de Valdes ou si l’arbitre de la rencontre avait sifflé penalty pour une main d’Oleguer jugée involontaire. Au retour, Ronaldinho & Co attaquaient la rencontre pied au plancher. Après avoir vu son penalty repoussé par Moretto après quatre minutes de jeu, le Brésilien ouvrait le score à la 19e minute. Les vagues catalanes déferlaient sur la défense portugaise qui résistait cependant très bien. Mieux même, Simao manquait la balle d’égalisation, et à ce moment là de la qualification, au terme d’un contre rondement mené et d’un service de Miccoli à l’heure de jeu. Benfica avait laissé passer sa chance et Samuel Eto’o, en fin de match, se chargeait d’envoyer définitivement son équipe dans le dernier carré.

Demi-finales
Pour la première fois depuis la saison 2001-2002, le Barça se retrouvait donc en demi-finales de la Ligue des Champions. A l’époque, le Real Madrid de Zizou, en route vers le sacre, avait stoppé les Catalans. Cette fois, c’est un autre grand d’Europe qui se présentait face à eux : le Milan AC, fossoyeur des illusions lyonnaises en quarts de finale. Au bord de la rupture dans le premier quart d’heure du match aller à San Siro, le Barça laissait passer l’orage et s’en remettait encore au génie de Ronaldinho pour faire la différence. D’une louche superbe, l’ancien du PSG lançait idéalement Ludovic Giuly dont la frappe instantanée du gauche ne laissait aucune chance à Dida (0-1, 57e). Quelques minutes plus tard, Ronnie trouvait la base du poteau de son compatriote, le Milan, trop imprécis, était passé tout près du KO mais, malgré sa défaite, voulait croire en ses chances d’inverser la tendance au retour. Et les Lombards ne sont pas passés loin de réussir leur coup. Gênant considérablement le Barça, les Italiens refaisaient leur retard lorsque Shevchenko trouvait les filets de Valdes de la tête (68e). Mais M. Merk le refusait pour une faute inexistante de l’Ukrainien sur Puyol. Barcelone arrachait sa qualification aux forceps. Douze ans après la déculottée reçue en finale (4-0), les Espagnols venaient de prendre leur revanche sur les Transalpins et de s’offrir le droit de rêver à la deuxième Ligue des Champions de leur histoire.

Le parcours de Barcelone :
Phase de groupes :
Werder Brême (All) - Barcelone 0-2
Barcelone - Udinese (Ita) 4-1
Panathinaïkos (Grè) - Barcelone 0-0
Barcelone - Panathinaïkos (Grè) 5-0
Barcelone - Werder Brême (All) 3-1
Udinese (Ita) - Barcelone 0-2

Huitièmes de finale
Chelsea (Ang) - Barcelone 1-2 et 1-1

Quarts de finale
Benfica (Por) - Barcelone 0-0 et 0-2

Demi-finales
Milan AC - Barcelone 0-1 et 0-0




Le parcours d’Arsenal

A la veille de la finale de la Ligue des Champions, mercredi soir au Stade de France, Sport24.com vous propose de retracer le parcours de chacun des deux finalistes. Deuxième étape avec Arsenal.


Phase de groupes
Placé en compagnie de l’Ajax Amsterdam, du Sparta Prague et du petit poucet suisse, le FC Thoune, Arsenal ne pouvait pas se plaindre du sort que lui avait réservé le tirage au sort. Les Gunners, sérieux à défaut d’être géniaux (spécialement lors de leur entrée en lice très poussive contre Thoune), se sortent facilement de leur groupe avec un bilan parfait de cinq victoires et un nul (0-0) contre l’Ajax à Highbury. Les hommes d’Arsène Wenger n’encaissent que deux buts en six matches. Le 27 septembre, Marcus Rosenberg, même si personne ne s’en doute alors, est le dernier à tromper la vigilance de la défense londonienne.

Huitièmes de finale
Guère fatigué par ses efforts du premier tour et largué en Premier League, Arsenal reporte alors ses ambitions sur la Ligue des Champions. Mais l’obstacle qui se présente sur la route de Thierry Henry et sa bande, le Real Madrid, a de quoi impressionner. Pourtant dès le match aller, les Gunners font preuve d’une solidité et d’une solidarité qui s’avèreront être leur marque de fabrique par la suite. Devant un public de Bernabeu médusé, Thierry Henry mystifie même la moitié de la défense madrilène pour inscrire un but qui fera le tour des télés d’Europe et permet à Arsenal de prendre une option sur la qualification (1-0). Malgré quelques frayeurs, notamment un tir sur le poteau de Raul, les Gunners parvenaient à conserver leur avantage de l’aller au terme d’un match nul d’une grande intensité (0-0).

Quarts de finale
L’obstacle madrilène franchi, Arsenal trouvait sur sa route un autre grand d’Europe, la Juventus Turin. Cette fois, le match aller avait lieu à Londres. Un match chargé d’émotions pour Patrick Vieira, parti l’été dernier à la Juve après neuf saisons passées du côté d’Highbury. Si le public londonien, par ses chants, lui rendait un vibrant hommage avant le coup d’envoi, ses anciens partenaires allaient, eux, lui faire passer une bien mauvaise soirée. Clin d’œil du destin, c’est le successeur de l’ancien Cannois dans l’entrejeu des Londoniens, le jeune Cesc Fabregas, qui faisait plier la Vieille Dame d’un but et d’une passe décisive. Score final : 2-0, Arsenal avait un pied en demi-finales. Au retour, à Turin, les Bianconeri, privés de Zebina, Camoranesi et Vieira, tous trois suspendus après l’aller, ne parvenaient pas à mettre en défaut la jeune défense anglaise. Malgré les absences de Campbell, Cole, Clichy ou Cygan , les jeunes pousses d’Arsène Wenger (Flamini, Eboué, Touré et Senderos) faisaient front et contenaient, comme face au Real, les assauts désordonnés de David Trezeguet et compagnie. 0-0 au coup de sifflet final, Arsenal se hissait pour la première fois de son histoire en demi-finales.

Demi-finales
Après le Real Madrid et la Juventus Turin, Villarreal, adversaire des Gunners dans une demi-finale surprise, semblait être un morceau bien plus digeste pour Arsenal. A tel point qu’après avoir été outsiders lors des deux premiers tours à élimination directe, les Londoniens devaient se glisser dans le costume toujours encombrant de favoris. Pour leur dernière sortie européenne dans leur stade d’Highbury, Kolo Touré, auteur du seul but de la partie, et ses partenaires prennent encore l’avantage au domicile (1-0). Pas très cher payé au vu des nombreuses occasions que s’étaient procurées les hommes de Londres. Au retour, les Espagnols se procuraient une bonne demi-douzaine d’occasions de but mais soit par maladresse, soit grâce à la vista de Lehmann, ils ne parvenaient pas à marquer. Juan Roman Riquelme, le maître à jouer de la formation de la banlieue de Valence, ratait même un penalty en toute fin de match, trouvant le portier allemand d’Arsenal sur sa route. Un arrêt décisif du futur gardien de la Mannschaft lors de la prochaine Coupe du Monde qui envoyait Arsenal au paradis, la finale au Stade de France.

Le parcours d’Arsenal :
Phase de groupes :
Arsenal - FC Thoune (Sui) 2-1
Ajax Amsterdam (PB) - Arsenal 1-2
Sparta Prague (Rtc) - Arsenal 0-2
Arsenal - Sparta Prague (Rtc) 3-0
FC Thoune (Sui) - Arsenal 0-1
Arsenal - Ajax Amsterdam (PB) 0-0

Huitièmes de finale
Real Madrid (Esp) - Arsenal 0-1 et 0-0

Quarts de finale
Arsenal - Juventus Turin (Ita) 2-0 et 0-0

Demi-finales
Arsenal - Villarreal (Esp) 1-0 et 0-0


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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeMer 17 Mai - 16:07

Rijkaard: «Confiance en nos moyens»

A quelques heures de la finale face à Arsenal, Frank Rijkaard semble très serein. Le coach du FC Barcelone respecte mais ne craint pas Arsenal et évoque une nouvelle fois sa conception du football, où le plaisir prend une grande place. Interview

FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 1147855757

Par Emmanuel Quintin
Au Stade de France


Sport24.com : Vous abordez la finale de la Ligue des Champions dans la peau du favori. Comment gérez-vous cette pression ?
Frank Rijkaard : Nous sommes ravis d’être là et nous attendons avec impatience d’arriver au match. Une finale de Ligue des Champions, ça attire les médias et le public, c’est normal. Mais cela ne nous déconcentre pas. Toute l’équipe sait qu’elle va jouer un match important. L’enthousiasme des supporters se transmet à l’équipe. Mais nous considérer comme favoris, c’est une erreur. Chaque match est unique, tout se joue sur des détails. Il faut donc être humble.

Sport24.com : Vous avez déjà disputé des finales en tant que joueur, avec le Milan AC ou l’Ajax. Quelles qualités faut-il pour gagner ce genre de matches ?
Frank Rijkaard : Il faut juste marquer un but de plus que l’adversaire (sourire).

Sport24.com : Dans quel état est votre équipe et comment va Lionel Messi ?
Frank Rijkaard : Mes joueurs sont bien mentalement. Mon équipe se prépare tranquillement. Quant à Messi, il a participé à l’entraînement, nous sommes heureux qu’il se remette et lui aussi bien sûr. Mais nous ne déciderons de sa participation au match qu’au dernier moment.

Sport24.com : Le Barça n’a gagné qu’une fois la Ligue des Champions. Cela ajoute-t-il de la pression au match de mercredi ?
Frank Rijkaard : C’est un évènement très important pour le club, pour les joueurs et pour les supporters du Barça. Mais le fait que le club n’ait pas souvent remporté cette compétition par le passé n’a pas d’importance. Nous nous concentrons juste pour obtenir le meilleur résultat possible dans cette finale. C’est tout ce que nous pouvons faire.

Sport24.com : Arsenal a éliminé le Real Madrid et Villarreal, deux équipes espagnoles, lors des tours précédents. Est-ce que cela vous inquiète ?
Frank Rijkaard : Non, car ce n’est pas parce que c’était des équipes espagnoles qu’Arsenal a gagné. Ils ont une réussi de bons matches, ils possèdent beaucoup de bons joueurs et jouent parfaitement en équipe. C’est une formation redoutable mais c’est ça qui rend intéressante cette finale.

Sport24.com : L’un des arbitres assistants de cette finale a été aperçu en photo dans la presse avec un maillot du Barça sur le dos. Qu’est-ce que cela vous inspire ?
Frank Rijkaard : Il faut qu’Arsenal lui donne vite un maillot et que vous preniez des photos. Comme ça, il y aura match nul (sourire). La presse s’intéresse beaucoup à cette histoire mais cela n’a aucune influence sur mes joueurs. (Ndlr : depuis, l’UEFA a décidé de remplacer cet arbitre assistant)

Sport24.com : C’est votre philosophie de jeu qui a mené le Barça à cette finale. En changerez-vous en cas de défaite ?
Frank Rijkaard : Non. Au Barça, nous pensons au résultat bien sûr. Mais le football est un jeu et qui dit jeu, implique l’idée d’amusement. Il doit y avoir du plaisir sur le terrain. Si vous prenez les choses trop sérieusement, cela devient un job. L’esprit d’équipe, la tactique et les réactions du public sont importantes mais il faut trouver un équilibre entre le travail et le plaisir.

Sport24.com : Vous avez éliminé Chelsea qui a fini loin devant Arsenal en championnat. Est-ce un avantage ?
Frank Rijkaard : Jouer une finale, c’est quelque chose de particulier. Il est difficile de comparer Chelsea et Arsenal. Ce sont deux équipes très fortes. Chelsea a été la meilleure formation d’Angleterre cette année et Arsenal joue à un très haut niveau avec des jeunes de qualité. Nous ne pensons pas au passé et je ne crois pas aux avantages psychologiques. Chaque match est différent et je veux juste que l’on joue notre jeu.

Sport24.com : Pour cette finale, on parle des stars, Henry ou Ronaldinho, plus que des équipes ou des entraîneurs…
Frank Rijkaard : Cela ne me gêne pas. Je trouve même plutôt bien que l’on parle des bons joueurs. Mais pour ma part, je fais toujours référence à l’équipe entière. Dans notre vestiaire, chacun respecte l’autre. Il y a un esprit de camaraderie entre les joueurs et c’est grâce à cela que l’on atteint nos objectifs. Notre équipe est une communauté de joueurs qui s’entendent bien, et c’est très important dans nos résultats.

Sport24.com : La menace Henry vous obligera-t-elle à évoluer de façon plus prudente que d’habitude, comme contre Milan ?
Frank Rijkaard : Nous verrons. Cela dépendra de la façon dont Arsenal jouera. Nous avons confiance en nos moyens et nous savons que nous allons jouer contre une sacrée équipe et qu’Henry est un grand joueur, qu’il est la locomotive d’Arsenal. Mais nous n’allons pas tout bouleverser pour lui.

Sport24.com : Ludovic Giuly a été très déçu de ne pas être retenu pour la Coupe du Monde. Aura-t-il mentalement récupéré et cela peut-il influer sur votre décision de l’aligner ou non ?
Frank Rijkaard : C’est difficile pour lui d’accepter cette décision. J’espère qu’il a récupéré et qu’il s’en est remis car c’est un grand joueur et il est important pour nous. C’est une décision qu’il faut accepter mais c’est dommage.

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeMer 17 Mai - 16:08

17/05 11h16 - Football, Ligue des Champions
Fabregas n'a pas peur

Fabregas, le petit prodige espagnol des Gunners, espère rééditer le match parfait de Santiago Bernabeu, où Arsenal avait impressionné les observateurs.

A seulement 19 ans, Cesc Fabregas a déjà un palmarès intéressant, puisqu'avant de rejoindre sa sélection pour la joute allemande, l'Espagnol va disputer ce soir la finale de la Ligue des Champions. Pour soulever «la coupe aux grandes oreilles», il souhaite jouer comme contre le Real Madrid en huitièmes et ne pas rester focaliser sur le Ballon d'Or 2005, comme il l'a dit dans les colonnes d'As : «Il faut jouer comme nous l'avons fait contre Madrid, en pressant dès
le début. Il faut montrer que nous n'avons pas peur, et sortir rapidement
en attaque. Indépendamment de Ronaldinho, nous devons nous préoccuper de tous les joueurs car si le Barça a gagné la Liga et est arrivé en finale, cela n'est pas dû qu'à un joueur, ou deux.»

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeMer 17 Mai - 16:10

Le choc des cultures

FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 1147722358

Pour les 50 ans de la C1, le Stade de France accueille une affiche somptueuse entre Barcelone et Arsenal. L’opposition de style entre le jeu technique et posé des Blaugrana et la solidité et le jeu direct des Gunners promet du spectacle.

Par Rédaction Sport24.com

Enjeux
Frustré par son élimination houleuse en 8es de finale de la Ligue des Champions l’an dernier contre Chelsea, le FC Barcelone avait fait de cette compétition le grand objectif de la saison. Retrouver les Blaugrana mercredi soir au Stade de France n’est donc pas une surprise. Pratiquant sans nul doute le football le plus attrayant du Vieux Continent, les hommes de Frank Rijkaard ont réalisé une saison parfaite jusque-là. Sortis invaincus de leur groupe du premier tour (cinq victoires et un nul), les Catalans ont pris leur revanche sur la bande de José Mourinho en 8es de finale avant de dominer Benfica puis le Milan AC en quarts et en demi-finales. En Liga, Ronaldinho et ses partenaires ont outrageusement dominé les débats, s’offrant le prestige d’une victoire 3-0 chez le grand rival du Real Madrid, et ont coiffé leur deuxième couronne de champions d’Espagne à la fin du mois d’avril à trois journées de la fin. Autant d’éléments qui placent les Espagnols en position de favoris avant cette finale, même s’ils refusent d’endosser cet encombrant costume. Si le secteur défensif présente de sérieuses garanties avec le solide Carles Puyol, figure emblématique de l’équipe, en chef de la charnière centrale ou l’ancien Lyonnais Edmilson en libéro devant la défense, c’est surtout l’attaque catalane qui fait peur. Le trio Deco-Ronaldinho-Eto’o a fait des étincelles tout au long de la saison et en l’absence possible de Messi, Rijkaard peut compter sur Giuly, buteur décisif à Milan, ou Larsson, qui disputera son dernier grand match sous le maillot blaugrana avant de rentrer en Suède. Avec de tels techniciens, le Barça est donc parfaitement armé pour décrocher la deuxième Ligue des Champions de son histoire, après celle de 1992, obtenue aux dépens de la Sampdoria Gênes, grâce à un coup de canon de Ronald Koeman en prolongation.

Sur le papier, il faudra en tout cas un Barça au sommet de son art en attaque pour venir à bout de la forteresse imprenable d’Arsenal. Alors que la plupart des observateurs pensaient que le départ de Patrick Vieira l’an dernier causerait la perte du club londonien, Arsène Wenger a réussi à bâtir une équipe solide (souvent) et séduisante (parfois). Pourtant, le manager alsacien n’a pas été épargné par les soucis cette année puisqu’il a dû se passer de sa défense complète pendant la majeure partie de la saison (Campbell, Cole, Lauren, Clichy, Cygan, Touré ont tous été blessés assez longuement). La jeune garde a donc pris le pouvoir et, si elle n’a pas tenu le choc en Premier League (4e), elle a démontré toute son audace et son talent sur la scène européenne. Ni le Real, ni la Juventus, ni Villarreal ne sont ainsi parvenus à tromper Jens Lehmann et sa défense expérimentale et inexpérimentée (Senderos, Touré, Eboué et Flamini, reconverti arrière gauche). Au total, les Londoniens n’ont plus encaissé de buts depuis 919 minutes, soit 15 heures et 19 minutes ! Fort de cette hermétisme défensif, Henry (5 buts et véritable leader de sa formation), Reyes (joueur sur lequel a été commis le plus grand nombre de fautes durant toute la compétition), Pires ou Ljungberg se chargent de l’animation offensive dans un style direct très british, à l’opposé du jeu posé en multiples touches de balle du Barça. Entre ces deux lignes, Arsenal a également pu compter sur l’éclosion, l’explosion même, au plus haut niveau du jeune Cesc Fabregas (19 ans). L’Espagnol, formé… au Barça, a fait oublier Vieira du côté d’Highbury au point d’être retenu dans la sélection espagnole pour la prochaine Coupe du Monde. S’ils admettent qu’ils ne partent pas favoris, les Gunners se satisfont très bien du statut d’outsider qui leur a parfaitement réussi contre le Real et la Juve. Annoncé sur le départ en fin de saison, Thierry Henry, qui n’a pas confirmé les rumeurs de transfert, rêve sans doute d’offrir à son club la première C1 de son histoire. Dix jours après avoir inscrit un hat-trick pour le dernier match à Highbury, «Titi» entrerait ainsi un peu plus dans la légende des Gunners.

Revue des effectifs
Frank Rijkaard a décidé d’emmener tout son monde à Paris. Le coach néerlandais du Barça a en effet convoqué 22 joueurs pour cette grande finale. Le jeune prodige argentin, Lionel Messi, absent depuis le 8e de finale retour contre Chelsea, est dans le groupe mais il n’a toujours pas reçu le feu vert du staff médical du club. Sa participation à la finale sera décidée au dernier moment.

Du côté d’Arsenal, l’infirmerie, longtemps pleine cette saison, s’est considérablement vidée mais accueille toujours Lauren, Diaby et Cygan, tous les trois forfaits. Touché à la cuisse lors de la demi-finale retour à Villarreal, Mathieu Flamini est rétabli. L’ancien Marseillais n’est pourtant pas sûr de pouvoir tenir le flanc gauche de la défense londonienne puisque depuis les demi-finales, les deux spécialistes du poste, Gaël Clichy et Ashley Cole, sont revenus à la compétition. La grosse incertitude concerne le Suisse Philippe Senderos, blessé au genou, et qui devrait être remplacé par Sol Campbell, qui possède en outre l’expérience des grands matches.

Ils ont dit…
Alors que son équipe est présentée comme la favorite de cette finale, Frank Rijkaard refuse d'endosser cet encombrant costume afin d'éviter toute pression inutile sur ses joueurs. «Nous considérer comme favoris, c’est une erreur. Chaque match est unique, tout se joue sur des détails. Il faut donc être humble», a-t-il indiqué lors de la conférence de presse d'avant-match. «Nous sommes ravis d’être là et nous attendons avec impatience d’arriver au match», a poursuivit le Néerlandais. Son capitaine, Carles Puyol, se méfie, lui, beaucoup d'Arsenal et ne s'attend pas à une partie de plaisir sur la pelouse du Stade de France. «Arsenal a mérité d’être là après avoir réalisé un excellent parcours. Ils ont réalisé une grande saison, ils ont de grandes qualités offensives. Je pense que cela sera une très belle finale et je m’attends à un match difficile», déclare-t-il.

Dans les rangs des Gunners, Arsène Wenger loue les qualités de sa jeune équipe et assure que ses joueurs sont prêts pour cette première finale de C1 de l'histoire d'Arsenal. «Je me suis parfois senti seul cette saison car mes choix n’étaient pas compris par beaucoup de monde. Mais j’ai toujours cru que cette équipe avait quelque chose de spécial. Elle est un mélange d’humilité, de force, d’envie et bien sûr de talent. J’ai toujours cru que cette équipe avait quelque chose de spécial, cela a juste mis un peu de temps à se matérialiser. Mais nous nous sommes améliorés plus vite que ce que n’importe qui pouvait attendre. Je suis convaincu que nous sommes prêts pour le gros challenge de mercredi», confie le manager alsacien. Fredrik Ljungberg explique, lui, le parcours de son équipe par le fait que «cette saison, nous étions plutôt des outsiders contrairement aux années précédentes.» Cela tombe bien, ce sera encore le cas mercredi soir.

L’arbitre de la rencontre
Cette 51e finale de C1 de l’histoire sera arbitrée par le Norvégien Terje Hauge. Agé de 40 ans, le Nordique a déjà officié lors de 32 rencontres de Ligue des Champions et lors de la Coupe du Monde 2002 et de l’Euro 2004. C’est lui qui était au sifflet lors du 8e de finale aller de Barcelone à Chelsea (1-2) et lors du quart de finale retour de l’OL à Milan (3-1). Il n’a en revanche par arbitré Arsenal cette saison.

Statistiques
Arsenal dispute la première finale de C1 de son histoire. Les Gunners n’ont plus encaissé de buts en Ligue des Champions depuis 919 minutes, soit 15 heures et 19 minutes. Le dernier a avoir trompé l’arrière-garde londonienne est l’attaquant de l’Ajax Amsterdam, Marcus Rosenberg le 27 septembre dernier à l’ArenA. Le Barça, lui, jouera sa cinquième finale de C1. Les Catalans en ont gagné une (1-0 a.p contre la Sampdoria Gênes en 1992) et perdu trois (3-2 contre Benfica en 1961, 0-0 et 2 t.a.b à 0 contre le Steau Bucarest en 1986 et 4-0 contre le Milan AC en 1994).

Leur face à face en Ligue des Champions
1999-2000 Barcelone - Arsenal 1-1 (première phase de groupes)
1999-2000 Arsenal - Barcelone 2-4 (première phase de groupes)

Leurs cinq derniers matches
Barcelone - Milan AC 0-0 (Ligue des Champions, demi-finale retour)
Barcelone - Cadix 1-0 (Liga, 34e j)
Celta Vigo - Barcelone 0-1 (Liga, 35e j)
Barcelone - Espanyol 2-0 (Liga, 36e j)
FC Séville - Barcelone 3-2 (Liga, 37e j)

Arsenal - Tottenham 0-0 (Premier League, 36e j)
Villarreal - Arsenal 0-0 (Ligue des Champions, demi-finale retour)
Sunderland - Arsenal 0-3 (Premier League, 37e j)
Manchester City - Arsenal 1-3 (Premier League, 35e j, match en retard)
Arsenal - Wigan 4-2 (Premier League, 38e j)

Les groupes :
Barcelone
Valdés, Jorquera, Puyol, Oleguer, Márquez, Sylvinho, Gio, Belletti, Edmílson, Xavi, Iniesta, Gabri, Motta, Van Bommel, Deco, Giuly, Ezquerro, Ronaldinho, Messi, Maxi, Larsson, Eto'o

Arsenal
Non communiqué

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeMer 17 Mai - 16:12

17/05 12h05 - Football, Ligue des Champions
Ronnie veut imiter Séville

La star brésilienne du FC Barcelone, Ronaldinho, qui jouera la finale de la Ligue des Champions mercredi soir au Stade de France, a déclaré vouloir imiter Séville, vainqueur de la Coupe de l’UEFA ,en gagnant notamment la bataille du milieu de terrain.

Ronaldinho, la star brésilienne de Barcelone, qui jouera la finale de la Ligue des Champions mercredi soir au Stade de France, a déclaré vouloir imiter Séville, vainqueur de la Coupe de l’UEFA en gagnant la bataille du milieu de terrain. «Les finales ne sont habituellement pas des rencontres à buts, mais nous allons essayer de changer cela comme l’a fait Séville», a déclaré Ronaldinho sur le site internet de l’UEFA. «La bataille du milieu devrait être décisive.» a ajouté le Brésilien, avant de conclure : «Arsenal a un groupe très équilibré qui joue vers l’avant. Il sera très difficile de les battre.»

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeMer 17 Mai - 22:45

Mi temps
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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeJeu 18 Mai - 0:43

Visca Barça, campeon de Europa 2006

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Longtemps mené au score par Arsenal, Barcelone a finalement profité dans le dernier quart d’heure de sa supériorité numérique pour remporter, au Stade de France, la deuxième Ligue des Champions de son histoire (2-1).

Par Vincent Duchesne

Espagne 2 – Angleterre 0. Une semaine après le succès du FC Séville en finale de la Coupe de l'UEFA, Barcelone a matérialisé la suprématie espagnole sur le football européen en s'adjugeant la deuxième Ligue des Champions de son histoire. Une finale qui a tenu toutes ses promesses entre la meilleure attaque (22 buts inscrits en 12 matches) et la meilleure défense de la compétition (2 buts encaissés). La maîtrise et la technique barcelonaises face à la fougue et la jeunesse insouciante des Gunners d'Arsenal. Autant d'éléments de comparaison qui faisaient de cette finale une rencontre aussi indécise qu'alléchante.

Les Gunners à 10 contre 11
Un temps espéré, Leo Messi, le petit prodige argentin du Barça ne figurait finalement même pas sur la feuille de match. Une absence qui permettait à Giuly, le grand perdant de la liste des 23, d’être titularisé sur le flanc droit de l’attaque aux côtés d’Eto’o et Ronaldinho. Côté londonien, la défense si imperméable depuis le début de la compétition se voyait en partie recomposée puisque les «anciens» Cole et Campbell récupéraient leur place de titulaire au détriment des intérimaires Senderos et Flamini. Les premiers à se mettre en évidence étaient d’ailleurs les hommes d’Arsène Wenger. Un en particulier, Thierry Henry ! Une bon contrôle assorti d’une petite balle piquée bien sorti par Valdes (3e) puis une lourde frappe à l’entrée de la surface boxée des deux poings par le portier catalan (3e) lançaient parfaitement les débats.

Passé ce début délicat et stressant, Barcelone reprenait ses esprits par l’intermédiaire de Giuly mais dans un angle fermé, son tir ne faisait que chauffer les gants de Lehmann (9e). L’embouteillage monstre au milieu de terrain empêchait les 22 acteurs de mettre véritablement en danger les portiers adverses. Monsieur Hauge allait mettre son petit grain de sel et gâcher la fête. Sur une merveille de passe en profondeur de Ronaldinho, Eto’o était fauché par Lehmann à l’extrême limite de la surface. Giuly avait bien suivi et n’avait plus qu’à pousser le ballon au fond des filets. L’arbitre en décidait autrement en refusant de laisser l’avantage et en expulsant le gardien allemand (19e). Une décision aussi stupide qu’illogique dont Robert Pires fit malheureusement les frais, remplacé par Almunia.

Le coup de boule de Campbell
A 10 contre 11, Barcelone prenait logiquement la direction des opérations face à des Gunners pris à la gorge et incapables de sortir de leur moitié de terrain. Mais la domination catalane se révélait particulièrement stérile car hormis le coup franc hors cadre de Ronaldinho consécutif à la faute de Lehmann ou encore un tacle in-extremis de Cole sur Giuly (28e), Arsène Wenger n’avait pas de quoi s’arracher les cheveux. Bien au contraire ! Puisque sur un coup franc parfaitement botté par Henry, Campbell s’élevait plus haut que tout le monde et d’un fantastique coup de boule ouvrait la marque (0-1, 37e). Un but qui avait le don de rehausser le moral des Londoniens pourtant proche de se faire surprendre dans les arrêts de jeu de cette première période sur une frappe d’Eto’o qui touchait du bois, bien aidé par le bout des doigts d’Almunia (45+2).

Coaching payant de Rijkaard
Forcément, l’attaque-défense se poursuivait au retour des vestiaires. Mais le postionnement très bas de la défense londonienne gênait considérablement Ronaldinho et consorts, incapables de plonger dans le dos des défenseurs. Les hommes de Rijkaard s’en remettaient alors à des exploits individuels mais ni Iniesta, sur une belle frappe pile sur Almunia (53e), ni Ronaldinho après une succession de passement de jambes devant Eboué (58e) ne trouvaient la faille. Les meilleures occasions étaient même à mettre à l’actif des Gunners, profitant d’une certaine fébrilité défensive des Catalans. Sous un temps typiquement britannique, c’est tout d’abord Hleb qui, en contre, voyait son tir flirter avec le montant de Valdes (63e). Puis Henry y allait de son petit festival en enchaînant successivement grand pont et petite balle piquée sur deux défenseurs catalans mais l’international français poussait un peu trop son ballon devant Valdes (66e).

Barcelone souffrait face à la vivacité des Gunners mais ces derniers loupaient le coche lorsque Henry, parfaitement lancé dans la profondeur perdait son duel avec Valdes (70e). Arsenal avait laissé passer sa chance. Et le regrettera sûrement longtemps. Car à trop reculer, la sanction fut terrible. Sur un petit relais astucieux de Larsson, entré en cours de jeu, Eto’o se retrouvait seul face à Almunia et d’un tir à ras du poteau égalisait (1-1, 76e). Ce but changeait complètement la donne et sur l’action suivante, le Barça allait même crucifier les partenaires d’Henry. Avec une nouvelle fois Larsson à la baguette pour Belletti, également entré en seconde période, qui lancé, frappait entre les jambes d’Almunia (2-1, 80e). Les dernières minutes se résumaient en un long chemin de croix pour les Anglais, obligés de courir après un ballon insaisissable. Barcelone réalise le doublé Coupe d’Europe-Championnat. L’Europe appartient à l’Espagne !

Résultat de la finale :
FC Barcelone (Esp) - Arsenal (Ang) 2-1

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeJeu 18 Mai - 0:43

17/05 23h05 - Football, Ligue des Champions
Wenger : «C’est le sport»

Très déçu de la défaite d’Arsenal contre Barcelone (1-2) en finale de la Ligue des Champions mercredi, Arsène Wenger est resté beau joueur.

Alors qu’ils menaient au score en infériorité numérique, les Gunners d’Arsenal ont subi la loi de Barcelone qui a su renverser la vapeur pour égaliser et prendre l’avantage dans le dernier quart d’heure. Un épilogue malheureux pour Arsène Wenger. «Cela fait partie du sport. La rencontre s’est jouée à peu de choses. Nous avons eu le malheur de jouer à dix mais nous avons réussi à ouvrir le score. Malheureusement nous n’avons pas su concrétiser les deux occasions qui nous auraient permis de mener deux buts à zéro», a analysé le coach du club anglais au micro de TF1.

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeJeu 18 Mai - 18:06

Les réactions

Frank Rijkaard (entraîneur du FC Barcelone)
Cela n'a pas été facile mais je l'avais dit avant le match. Une finale de Ligue des champions, c'est un match particulier. Il n'y a pas de favori. Arsenal a très bien débuté et nous moins bien, mais le fait qu'il y ait eu un joueur d'Arsenal exclu a fait basculer le match. Franchement, je n'ai pas bien vu ce qui s'est passé et je n'ai pas vu les images. Je ne vais pas commenter les décisions de l'arbitre. D'une certaine façon, en tout cas, c'est dommage pour le jeu. Arsenal a dû se replier et défendre à dix, ce qui ne les a pas empêchés d'être dangereux en contre-attaque. Victor Valdez a été une nouvelle fois très important. Il nous a quasiment sauvés en arrêtant une occasion de Thierry Henry, et un peu avant aussi. Il a beaucoup contribué à la victoire finale. Mais c'est toujours l'équipe qui gagne. Le fait que Larsson ait pris part aux deux buts, on ne le prévoit pas avant l'entrée sur le terrain. C'est plutôt la preuve de la qualité du joueur. Il se prépare toujours très bien. Il est toujours prêt à aider l'équipe. Nous avons parlé avec Henrik (pour essayer de le faire rester à Barcelone), mais sa décision est prise: il pense que c'est le bon moment pour partir. Il faut que l'équipe soit capable de faire naître les occasions. Nous avions face à nous dix joueurs très bien organisés. L'égalisation a été un moment important. Cela a été une rupture, sur le plan psychologique, pour Arsenal. Eto'o? Il fait un travail fantastique, bien sûr. Mais, moi, j'ai l'habitude de parler de l'équipe. Chaque fois qu'on a la chance de remporter un titre (Rijkaard a déjà gagné la C1 trois fois comme joueur), c'est un bonheur incroyable. Je me sens heureux. Mais il ne faut pas changer d'attitude et continuer à travailler humblement.

Deco (milieu de terrain du FC Barcelone)
C'est fantastique de remporter une deuxième Ligue des Champions (après le trophée qu'il avait remporté en 2003 avec le FC Porto, ndlr). Je n'arrive pas bien à comparer les deux titres. Avec Porto, on n'était pas favoris du tout. Mais cette fois-ci, on l'était et c'est vraiment un bonheur intense. Je crois que ce titre est très important pour les supporteurs du Barça. On ne s'en rend peut-être pas compte, mais le club n'avait pas remporté un titre européen depuis longtemps. Pendant le match, leur but nous a fait du mal. D'autant qu'après, les Anglais étaient encore plus regroupés en défense. Mais on a poussé sans s'énerver, on a su se montrer patients pour égaliser. Et le but de la victoire est venu parce qu'ils avaient pris un très très gros coup au moral après l'égalisation. Je crois qu'ils ont lâché à ce moment là.


Samuel Eto'o (Barcelone)
C'est incroyable. Il n'y a pas de mots pour relater ce qu'on ressent. On n'a jamais douté. Après avoir vu le match de Liverpool l'année dernière, on savait qu'il ne fallait pas baisser les bras, essayer de revenir jusqu'au coup de sifflet final. Essayer, essayer, essayer... Et, grâce à Dieu, j'ai été offrir l'égalisation à mon équipe. Je suis vraiment heureux. Je remercie le président Laporta, mes coéquipiers et les entraîneurs. Je suis venu au Barça pour vivre ce genre de moment là. Cela ne compense pas le fait de ne pas aller au Mondial. C'est dommage que le Cameroun n'y aille pas. Mais, dans quelques années, on regardera ce match avec mon fils et je pourrai dire que j'ai gagné une Ligue des champions! (à propos de l'exclusion de Jens Lehmann, le gardien d'Arsenal) Sur le moment, on aurait préféré avoir (le bénéfice du) but, d'autant qu'après l'expulsion, Arsenal n'a pas paru affecté.

Carles Puyol (défenseur central et capitaine du FC Barcelone)
C'est une folie! C'est incroyable de pouvoir soulever la Coupe et de la donner aux partenaires. C'était un match où on n'a jamais cru que c'était perdu. Mais c'est vrai qu'au fur et à mesure que le temps avançait, on sentait que c'était de plus en plus compliqué de gagner. On a montré qu'on était une équipe qui savait aussi souffrir et on a souffert pour offrir ce trophée aux supporteurs catalans qui l'attendait depuis longtemps. J'avais dit avant le match: "Qu'on perde ou qu'on gagne, cette équipe a de l'avenir". Je le redis, elle a encore de l'avenir et on peut gagner beaucoup de trophées. (à propos de Thierry Henry) Je n'avais jamais joué contre lui, il est impressionnant, très rapide et, en plus, nous, comme nous devions le marquer, on s'avançait sans trop le vouloir et, alors, on lui laissait beaucoup d'espaces. Ljungberg et lui auraient pu nous faire très mal".

Ludovic Giuly (milieu de terrain du FC Barcelone)
Je n'ai pas à être consolé (à propos de sa non sélection en équipe de France pour le Mondial-2006, ndlr). Ce qui s'est passé ce soir, c'est un moment énorme. C'est une super fête. Maintenant, j'en ai gagné une (Coupe d'Europe)!. On a eu peur pendant le match, c'est sûr, mais on n'a jamais paniqué. On a continué à jouer notre jeu pour essayer de marquer. Et, à l'arrivée, c'est le bonheur. J'ai eu des occasions, je n'ai pas marqué. Mais, peu importe, ce qu'on retient, c'est la victoire.

Thierry Henry (attaquant et capitaine d'Arsenal)
J'ai vraiment mal au coeur. D'autant que lorsque on regarde les images, on peut se plaindre de l'arbitrage. L'arbitre ne donne pas de carton jaune à Puyol et à Marquez. Ils n'auraient certainement pas défendu pareil s'ils avaient reçu un carton en début de match. En plus, sur leur premier but, je crois qu'il y a un hors jeu. Mais, de toute façon, on a perdu. On peut ressortir d'ici la tête haute. On a fait un bon match. On n'est vraiment pas passé loin.


Arsène Wenger (entraîneur d'Arsenal)
Sur l'exclusion de Lehmann, il n'y a rien à dire. C'était une faute. Si l'arbitre avait accepté le but de Barcelone, je n'aurais pas contesté. Il a sifflé très tôt sur la faute. Mais je ne pense pas que c'est le point le plus important du match. On a eu des occasions de marquer un deuxième but, et à partir du moment où on ne marque pas, on se met en difficulté pour les vingt dernières minutes. Mon plus grand regret, c'est que le premier but de Barcelone était hors-jeu. Je suis très frustré. Je suis en colère parce qu'on a pris un but sur hors-jeu. C'est très difficile... C'est toujours dur d'accepter de perdre un match sur une mauvaise décision. Cela étant dit: félicitations à Barcelone, et félicitations à mon équipe, qui a fait un très bon parcours. L'exclusion a eu lieu un peu tôt. Il restait 70 minutes. Mais Barcelone n'a pas été spécialement dangereux, ni très inventif. Ce qui a surtout joué contre nous, c'est la fatigue. Je n'aurais jamais vraiment cru que c'était fait en notre faveur. Mais je n'imaginais pas qu'on prendrait un but sur hors-jeu. Que pouvais-je faire de plus? Mes joueurs ont été magnifiques. Ils ont joué comme des héros. Nous allons travailler avec eux pour dépasser cette frustration. Nous avons perdu un seul match dans toute notre saison: c'est ce match, en plus sur une décision contestable.Je pense que notre équipe est en train de progresser. Nous avons beaucoup de jeunes. Elle est très prometteuse, cela pourrait être une grande équipe. Mais nous avons besoin de Thierry Henry pour y arriver parce qu'il a une grande influence sur l'équipe. Il nous aidera.

Jens Lehmann (gardien de but d'Arsenal, exclu à la 18e minute)
Je n'aurais jamais imaginé devoir céder ma place après si peu de minutes. Il n'y a pas eu d'injustice, j'ai commis une faute et j'ai été puni. Je pensais simplement qu'il y avait hors-jeu, j'ai plongé mais il n'y avait malheureusement pas hors-jeu. Je pense que, personnellement, j'ai eu de la chance de parvenir jusqu'en finale de la Ligue des champions, et c'est dommage que cela n'ait pas marché ce soir. Ce qui me chagrine, c'est qu'il y a eu aussi un but sur hors-jeu (d'Eto'o) et qu'on aurait pu faire mieux du côté de l'arbitre.

Manuel Almunia (gardien d'Arsenal entré à la place du gardien titulaire Jens Lehmann exclu)
On est très déçus, en colère. (sur l'exclusion) C'est typique d'un face à face entre l'attaquant et le gardien. L'arbitre doit faire ce choix. Quand je suis rentré, je n'ai pensé à rien, je n'ai pas eu le temps. J'étais très calme et très relax, même si c'était un grand match. Ensuite, il s'est mis à pleuvoir, la pelouse était rapide et c'était bon pour eux. Nous étions un peu fatigués, c'est devenu difficile, ils ont beaucoup de qualités. On tenait la victoire dans nos mains et en cinq minutes, le rêve s'est évanoui.

Emmanuel Eboué (défenseur d'Arsenal)
On est forcément déçus parce qu'on n'était pas si loin de gagner. On a mené au score pendant une demi-heure. Franchement, le Barça ne s'est pas créé autant d'occasions que cela. Mais, à dix contre onze, c'est vraiment difficile de résister. Ils ont vu qu'on était fatigués en fin de match, et ils ont su en profiter. A la fin de la rencontre, Thierry Henry m'a dit qu'il fallait qu'on soit fiers, qu'il ne fallait pas qu'on baisse la tête. On a fait un gros match malgré tout, et une belle campagne européenne. L'année prochaine, on pourra à nouveau essayer de réussir en Europe, on a prouvé qu'on pouvait le faire. Maintenant, je vais penser à la Coupe du monde avec la Côte d'Ivoire".

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeJeu 18 Mai - 18:07

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeJeu 18 Mai - 18:07

Incidents après le sacre du Barça

Des incidents ont eu lieu mercredi soir à Barcelone mais aussi dans le Sud de l'Espagne, à Grenade, suite à la victoire du FC Barcelone en finale de la Ligue des champions (2-1) face aux Anglais d'Arsenal.

Dans la cité catalane, plus de cent personnes ont été légèrement blessées et 29 arrêtées. Des magasins ont été pillés, des cabines téléphoniques ou autres conteneurs à ordures incendiés.

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeJeu 18 Mai - 18:08

Eto'o: «Je n’ai jamais douté»

Auteur du but de l’égalisation barcelonaise, Samuel Eto’o a grandement participé à la quête de la deuxième C1 de l’histoire du Barça. Le Camerounais affirme n’avoir jamais douté, même quand Arsenal a mené au score, mais ne réalise pas encore la portée de cette victoire. Interview

Au Stade de France

Samuel, comment vous sentez-vous après cette victoire ?
Samuel Eto’o : Je n’ai pas de mot pour relater ce qu’on a vécu, tout ce qu’on vit en ce moment. Dans quelques années, quand je dirais à mon fils (Ndlr : il est à ses côtés) que j’ai gagné la Ligue des Champions et que j’ai inscrit un but qui a permis à mon équipe de revenir au score… On ne se rend pas trop compte encore de ce que ça représente. C’est quand notre carrière sera finie qu’on prendra conscience de ce qu’on a fait.

Avez-vous douté pendant cette finale ?
Samuel Eto’o : Non. Dans une finale, on ne peut pas se permettre de douter. Car ce sont des rencontres qui se jouent jusqu’au coup de sifflet final. Quand on est rentré aux vestiaires à la mi-temps, on s’est rappelé l’exemple de Liverpool l’an dernier face à Milan. On s’est mis dans l’esprit des joueurs de Liverpool. On s’est dit : «on rentre sur la pelouse et on y va, tant pis si on prend un autre but. Il faut essayer, essayer, essayer.» Et finalement Dieu a bien voulu qu’on l’emporte.

Le Stade de France vous réussit. Vous aviez marqué avec le Cameroun contre le Brésil, vous gagnez la Ligue des Champions. Qu’a-t-il de particulier ?
Samuel Eto’o : Je ne sais pas. Hier (Ndlr : mardi), quand nous sommes arrivés au stade je me suis demandé dans quel vestiaire nous allions être car j’avais perdu la finale de la Coupe des Confédérations en étant dans le vestiaire visiteurs. Quand j’ai vu que nous étions dans celui de l’équipe hôte, je me suis dit que l’on avait des chances de remporter la victoire car c’est dans ce vestiaire que j’étais lors du match contre le Brésil en Coupe des Confédérations 2003, où j'avais marqué un beau but qui nous avait donné la victoire. J’ai dit à Ronnie qu’on allait gagner. Et Dieu nous a permis de gagner.

Belletti et Larsson sont entrés en cours de match et ont été décisifs. C’est donc une victoire collective pour le Barça…
Samuel Eto’o : Au Barça, on a une équipe d’une vingtaine de joueurs, et même plus avec certains de la réserve, qui sont au haut niveau. On savait qu’on aurait des possibilités même si en face de nous il y avait une très bonne équipe, difficile à jouer car elle défend très bien et maîtrise très bien la contre-attaque. Il fallait trouver la solution. En première mi-temps, on a pris un but sur un coup de pied arrêté avec «Titi» qui met le ballon sur la tête de Sol Campbell. Après, j’ai un ballon d’égalisation avant la pause mais ça n’a pas marché. Mais on a continué, on a monopolisé le ballon pendant pratiquement 35 minutes en deuxième mi-temps et puis ça a fini par payer.

Sur l’action qui amène l’expulsion de Lehmann, auriez-vous préféré que l’arbitre accorde le but ?
Samuel Eto’o : Quand vous êtes sur la pelouse, vous préférez évidemment que l’arbitre accorde le but. Il en a décidé autrement. On ne peut rien dire, c’est le jeu. L’arbitre aurait pu laisser l’avantage mais bon… On a gagné et on n’y pense plus.

Cette victoire atténue-t-elle votre déception de ne pas être au Mondial avec le Cameroun ?
Samuel Eto’o : Non, cela n’a rien à voir. La Coupe du Monde est l’évènement planétaire le plus important, tous les joueurs veulent y être. C’est dommage que le Cameroun ne se soit pas qualifié. Mais comme je suis croyant, je crois toujours que ce que Dieu nous donne est bon et j’ai pris cette élimination du Mondial comme ça. Et aujourd’hui, il m’a offert autre chose, un autre grand moment.

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeJeu 18 Mai - 18:08

Rijkaard: «Je remercie le Barça»

Fidèle à lui-même, c’est un Frank Rijkaard calme et modeste qui s’est présenté devant la presse après le sacre de son équipe. Félicitant avant tout ses joueurs, le technicien néerlandais s’est dit très heureux de faire partie du Barça et d’avoir offert le trophée au club. Interview

Au Stade de France

C’est une grande victoire pour vous ce soir (Ndlr : mercredi). Que ressentez-vous ?
Je suis très content de ce succès sur un plan personnel et plus largement pour le club et pour ses supporters. Le Barça a gagné la Ligue des Champions et a rendu heureux ses fans, c’est ce qui compte. Je remercie le Barça de me permettre de vivre cela et de faire partie de ce grand club.

La victoire a été longue à se dessiner. Vous avez beaucoup souffert…
Oui, d’autant plus après l’expulsion de Lehmann, nous avons dû jouer contre dix joueurs très bien organisés, très bien regroupés. Il a fallu se montrer patient. L’égalisation a été très importante car elle a mis un coup au moral d’Arsenal et nous avons continué sur le même rythme pour obtenir la victoire.

Vous attendiez-vous à voir une équipe d’Arsenal aussi solide ?
Oui, j’ai toujours dit que je ne prêtais pas d’attention aux étiquettes de favoris. On nous présentait comme le favori de cette finale mais une finale est un match unique et il y avait deux équipes très fortes sur le terrain. Arsenal a eu un joueur expulsé et s’est très bien organisé derrière. Ensuite, ils ont marqué sur un coup de pied arrêté, ce qui les a rendus encore plus forts, mentalement du moins. C’est devenu difficile de jouer car leurs joueurs ont redoublé d’efforts et ont travaillé dur pour nous empêcher de marquer. Ce n’est pas la première fois que ça se passe comme cela quand une équipe est en infériorité numérique et je dois dire qu’Arsenal a très bien joué.

Pensez-vous que l’arbitre a pris la bonne décision en expulsant Lehmann ou aurait-il dû accorder le but de Giuly ?
Je n’ai pas bien vu l’action sur le moment et je ne l’ai pas encore revue à la télévision. Je pense que pour les spectateurs cette expulsion est dommageable car elle a changé la physionomie de la rencontre et un peu gâché cette finale. Mais l’arbitre a pris sa décision et c’est comme ça.

Vous avez fait des changements décisifs en deuxième période. Est-ce la clé du match ?
Ce sont les joueurs qui décident de l’issue d’un match. L’entraîneur peut juste remplacer quelques joueurs et c’est à eux de répondre. Larsson a démontré à quel point il était un joueur important pour nous mais je n’oublie pas la prestation de Valdes. Il a joué un grand rôle dans notre victoire, il nous a sauvés devant Henry et en une ou deux autres occasions. Il a grandement contribué à notre succès final.

Vous avez déjà gagné cette Ligue des Champions comme joueur. Est-ce le même bonheur en tant qu’entraîneur ?
Je ne peux pas comparer les deux. J’ai gagné des titres en tant que joueur, j’ai gagné la Ligue des Champions mais je n’y pensais pas pendant cette finale. Je vis l’instant présent, pas le passé. Je suis simplement très content pour l’équipe, pour mes joueurs, pour le club et pour nos supporters.

Parmi tous les matches de cette saison, tous les tours de cette Ligue des Champions, lequel a le plus compté ?
Frank Rijkaard : Le dernier. La finale de ce soir ( Ndlr : mercredi). Bien sûr.

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeJeu 18 Mai - 18:09

La presse espagnole unanime

La presse espagnole est unamime après la victoire (2-1) du FC Barcelone sur Arsenal en finale de Ligue des champions mercredi soir au Stade de France. «Archichampion», «bichampion», les superlatifs ne manquent pas pour qualifier ce succès, point culminant d'une «saison de rêve» selon La Vanguardia de Barcelone. «Si, Si, Si» a simplement titré le quotidien catalan El Mundo Deportivo qui propulse le camerounais Eto'o «dans la légende».
Même du côté de Madrid, on reconnaît que le Barça a «démontré à nouveau qu'il est la meilleure équipe au monde» selon Marca. Du côté du quotidien sportif AS, également proche du club de la maison blanche, on parle d'un «triomphe juste, voire nécessaire».

En Allemagne, l'expulsion du gardien de but d'Arsenal (18e), Jens Lehmann, a beaucoup fait parler la presse qui revient, comme Bild, sur cette «nuit d'horreur» vécue par le portier des Gunners. «Carton rouge ! Le choc pour Lehmann», a ainsi titré le quotidien populaire allemand. «Tragique !», assène pour sa part le bi-hebdomadaire Kicker, pour qui «le rouge de Lehmann a aidé le Barça».

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeJeu 18 Mai - 18:09

L'arbitre reconnaît l'erreur

Cette faute du gardien allemand d'Arsenal, Jens Lehmann, à la 18e minute de jeu de la finale de la Ligue des champions remportée (2-1) par le FC Barcelone a déjà fait couler beaucoup d'encre. Elle avait pris une tournure dramatique mercredi soir après l'expulsion du portier des Gunners, coupable d'avoir stoppé Samuel Eto'o qui filait vers le but et condamnant les Anglais à jouer à 10 contre 11 pendant plus de 70 minutes plutôt que de laisser l'avantage au Barça.

L'arbitre de cette finale, le Norvégien Terje Hauge, a reconnu jeudi avoir sifflé trop vite. «J'aurais certainement dû attendre de voir où le ballon allait», a-t-il commenté sur les ondes de la radio NRK.

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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeVen 19 Mai - 0:00

L"arbitre a gaché le match !!
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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeVen 19 Mai - 0:26

kortman88 a écrit:
L"arbitre a gaché le match !!!

pour le spectacle c'est sûr !!
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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeVen 19 Mai - 0:27

BARCELONE, QUATORZE ANS APRÈS

FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 1147959636

Par David MICHEL et David BENAROUSSE

Le FC Barcelone a remporté la deuxième Ligue des champions de son histoire. Une reconnaissance pour une équipe façonnée par Frank Rijkaard et qui ressemble maintenant à la génération dirigée par Johan Cruyff.


Rijkaard successeur de Cruyff

Mercredi soir au stade de France, le FC Barcelone version 2005-2006 a franchi les portes de l'Histoire. A nouveau. Sous un déluge démentiel, le club catalan a remporté pour la deuxième fois l'épreuve suprême, quelques jours seulement après avoir de nouveau apposé son nom, pour la 18e fois, au palmarès de la Liga. Cette équipe est grande, très grande, et fait désormais parti du cercle très privé des formations qui sont parvenus à réaliser le doublé Championnat-Ligue des champions si convoité mais trop souvent rêvé. Quatorze années séparent le sacre des hommes de Frank Rijkaard de celui des protégés du maître Johan Cruyff, dont le spectre plane toujours au-dessus du destin des Blaugrana. Quatorze, comme un symbole.Ce cru 2006 récompense une équipe, une vraie, douée mais aussi solidaire qui a adhéré à la même philosophie de jeu que sa devancière, celle du beau-jeu. Un héritage que Rijkaard s'est réapproprié, a peaufiné depuis deux saisons, pour enfin aboutir à la consécration européenne.


Les remplaçants ont été décisifs

Portés comme un fier étendard, l'attaque et le beau jeu du Barça ont triomphé. La formation de Rijkaard a su essuyer la tempête londonienne et le coup de tête de Campbell (37e), petit frère de celui de Basile Boli en 1993. Sur le point de rompre lorsque Thierry Henry manqua la balle de match (69e, duel avec Victor Valdès), le Barça ne s'est pourtant jamais affolé malgré le manque de réussite de son génie brésilien Ronaldinho. Les joueurs ont semblé attendre les choix tactiques de leur mentor sur le banc, lequel n'a déçu personne avec les entrées successives d'Iniesta (46e), Larsson et Belletti, et le replacement de Samuel Eto'o sur le flanc gauche. Si le premier a confirmé son extraordinaire vision du jeu en quelques touches de balles, le deuxième a délivré deux passes décisives pour le Camerounais, puis pour Belletti, buteur décisif peu après son entrée en jeu. « Mais on a poussé sans s'énerver, on a su se montrer patients pour égaliser. Et le but de la victoire est venu parce qu'ils avaient pris un très gros coup au moral après l'égalisation. Je crois qu'ils ont lâché à ce moment là », a déclaré le passeur suédois, qui n'aura pas manqué son dernier match avec les Blaugrana.


Les adieux à Arsenal de Pires et Henry ?

Pas franchement favoris pour leur première finale de C1, les Gunners y auront cru soixante-quinze minutes, avant de rompre sur deux attaques placées dont seul le Barça détient le secret. Avec l'expulsion de Lehmann et la sortie de Pires, les joueurs d'Arsène Wenger n'avaient d'autre choix que de se décomplexer face à l'armada catalane. L'ouverture du score fut belle, mais l'infériorité numérique aura pesé trop lourd dans le dernier quart d'heure. La rencontre a été la troisième finale européenne perdue par Arsène Wenger après celle de C2 avec Monaco en 1992 et celle de 2000 contre Galatasaray. Mais cette défaite a également sonné la fin, déchirante sur le fond comme sur la forme, de l'histoire d'amour entre Arsenal et Robert Pires en partance vers Villarreal et peut-être de Thierry Henry, attendue par toute la Catalogne pour endosser le numéro quatorze, et l'héritage qui va avec.


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Le Barça ne l’a pas volé

Au terme d’une finale qu’il a globalement dominée, le Barça a remporté la deuxième C1 de son histoire. Une juste récompense pour la formation sans doute la plus séduisante d’Europe et son entraîneur Frank Rijkaard, qui a fait triompher sa philosophie du beau jeu.

Par Emmanuel Quintin

La victoire attendue
La finale de la 51e C1 de l’histoire aura donc souri au favori logique, le FC Barcelone. Equipe sans doute la plus séduisante d’Europe, héritière de la Dream Team de Johan Cruyff, qui avait décroché la première C1 de l’histoire du club en 1992, la formation catalane a ponctué de la plus belle des manières un parcours européen sans faute (aucune défaite cette saison en Ligue des Champions et meilleure attaque de la compétition). Mais que l’accouchement fut dur pour les hommes de Frank Rijkaard, qui ont longtemps buté sur la solide défense d’Arsenal. Les circonstances de jeu avaient pourtant donné un avantage certain aux Catalans lorsque Jens Lehmann, sorti hors de sa surface, fauchait Eto’o et écopait d’un carton rouge après seulement 20 minutes de jeu. «Je pense que le carton rouge est mérité. C’est difficile à contester», admet Arsène Wenger. «Mais je ne pense pas que cela soit le moment le plus important du match car nous avons bien joué ensuite. Nous avons eu des occasions pour marquer un deuxième but et tant que nous ne le marquions pas, cela restait difficile.»

Car cette soudaine supériorité numérique ne profitait pas immédiatement au Barça. Obligés de reculer et de courir après le ballon, Thierry Henry et ses partenaires trouvaient même la faille dans la défense catalane lorsque l’attaquant des Bleus déposait le ballon sur la tête de Sol Campbell à quelques minutes de la pause. Nullement découragé par ce coup du sort, le Barça poursuivait son travail de sape. Moins flamboyants que d’habitude, les Blaugrana monopolisaient le ballon et faisaient courir les Londoniens. Une tactique qui s’avèrait payante en fin de match sur deux buts consécutifs de Eto’o et Belletti. «Quand on est rentré aux vestiaires à la mi-temps, on s’est rappelé l’exemple de Liverpool l’an dernier face à Milan. On s’est mis dans l’esprit des joueurs de Liverpool. On s’est dit : “on rentre sur la pelouse et on y va, tant pis si on prend un autre but. Il faut essayer, essayer, essayer.” Et finalement Dieu a bien voulu qu’on l’emporte», confiait un Samuel Eto’o radieux et qui affirmait n’avoir «jamais douté» de la victoire du Barça.

Le triomphe du collectif
Malgré sa pléiade de stars et l’attention portée à Ronaldinho, il est intéressant d’ailleurs de noter que c’est grâce à son collectif que le Barça s’en est sorti. Et grâce au coaching gagnant de Frank Rijkaard, grand artisan du retour au premier plan du club catalan depuis deux saisons. Larsson, double passeur décisif, Belletti, auteur du but de la victoire, les changements opérés par le technicien néerlandais ont été payants. «Au Barça, on a une équipe d’une vingtaine de joueurs, et même plus avec certains de la réserve, qui sont au haut niveau», rappelle Samuel Eto’o. «Ce sont les joueurs qui décident de l’issue d’un match. L’entraîneur peut juste remplacer quelques joueurs et c’est à eux de répondre. Larsson a démontré à quel point il était un joueur important pour nous mais je n’oublie pas la prestation de Valdes. Il a joué un grand rôle dans notre victoire, il nous a sauvés devant Henry et en une ou deux autres occasions. Il a grandement contribué à notre succès final», déclarait pour sa part un Frank Rijkaard heureux mais toujours aussi peu enclin à tirer la couverture à lui.

«Je suis très content de ce succès sur un plan personnel et plus largement pour le club et pour ses supporters. Le Barça a gagné la Ligue des Champions et a rendu heureux ses fans, c’est ce qui compte. Je remercie le Barça de me permettre de vivre cela et de faire partie de ce grand club», confesse celui qui est devenu le 5e homme de l’histoire à inscrire son nom au palmarès de la C1 en tant que joueur (1989 et 1990 avec le Milan AC, 1995 avec l’Ajax Amsterdam) et entraîneur. Pour le clin d’œil, l’ancien sélectionneur néerlandais rejoint dans ce cercle prestigieux le grand Johan Cruyff, l’un de ses inspirateurs, qui n’était pas le moins ému de la victoire du Barça mercredi soir. Auteur du doublé Liga-Ligue des Champions, un an après avoir décroché un autre titre de champion d’Espagne, le Barça est désormais, après la période de domination des Galactiques du Real Madrid, l’incontestable roi d’Espagne et d’Europe. Et vu la qualité de son effectif et les ambitions de son président, Joan Laporta, son règne ne fait peut-être que commencer.









Arsenal prend date


Passé en quelques minutes du rêve d’une première victoire en C1 au cauchemar d’une défaite en finale, Arsenal sort groggy de son affrontement avec le Barça. S’ils remettent en cause la qualité de l’arbitrage, les Londoniens voient tout de même dans leur revers des raisons d’espérer.

Par Emmanuel Quintin

Des Gunners amers
La déception est à la mesure de l’espoir qu’avait suscité le déroulement d’une finale pourtant mal engagée. Réduits à dix après vingt minutes, mais menant au score après un peu plus d’une demi-heure, Arsenal a entrevu la victoire pendant 76 minutes. Avant que le Barça ne vienne tromper Manuel Almunia à deux reprises et ne brise le rêve de la jeune troupe londonienne d’accrocher une première Ligue des Champions au palmarès du club.

L’ambiance était donc morose dans le camp des Gunners après la rencontre, la déception et l’amertume revenant régulièrement dans les propos des battus du soir. Avec même un semblant de mauvaise foi, compréhensible à chaud, quand Arsène Wenger et Thierry Henry contestent le but de l’égalisation d’Eto’o, inscrit, selon eux, en position de hors-jeu alors que les images montrent le contraire. «Je suis très frustré d’avoir perdu le match et je suis en colère d’avoir pris un but hors-jeu. Vous verrez, si vous entraîner une équipe, que vous jouez une finale de coupe d’Europe, que vous prenez un but hors-jeu et que je vous demande après le match si vous êtes en colère... Vous allez trouver la réponse tout de suite», soulignait le coach des Gunners. «Nous nous sommes battus jusqu’au bout, nous n’avons jamais abandonné. Après une heure pourtant, j’étais mort mais j’ai continué à me battre. Mais quand vous voyez la façon dont on prend le but… C’est difficile», regrettait son avant-centre.

Au-delà de cette polémique de toute façon stérile sur l’arbitrage, les deux hommes voulaient retenir la belle prestation d’Arsenal. «Tout le monde nous parlait de Barcelone comme de la meilleure équipe d’Europe. On peut le dire aujourd’hui puisqu’ils ont gagné mais nous pouvons être fiers de nous. Nous avions bien débuté le match. A onze contre onze, nous étions meilleurs que Barcelone. Après l’expulsion de Jens, c’est devenu plus difficile. On courait plus après le ballon pour le récupérer qu’autre chose. Mais nous avons ouvert le score et nous avons bien résisté jusqu’au but d’Eto’o. Nous sortons la tête haute, nous n’avons pas à rougir de notre défaite», clamait Thierry Henry.

Une équipe en devenir
«Je ne vois pas ce que mes joueurs auraient pu faire de plus. Ils ont été splendides, ils ont joué comme des héros mais ils n’ont pas été récompensés», poursuivait Wenger. Le manageur d’Arsenal veut déjà voir plus loin que cette finale perdue. Lui qui avouait avant la rencontre «s’être senti seul cette saison car mes choix n’étaient pas compris par beaucoup de monde» mais avoir «toujours cru que cette équipe avait quelque chose de spécial», a bien failli réussir son pari : remporter la Ligue des Champions avec une équipe encore en construction et composée de joueurs inconnus il y a quelques mois sur la scène internationale (Fabregas, Hleb, Flamini, Eboué…). A 15 minutes près, la défense des Gunners a failli préserver sa cage inviolée pour la 11e rencontre d’affilée en Ligue des Champions (995 minutes d’invincibilité au total !) et Arsenal aurait pu garnir la vitrine de son flambant neuf Emirates Stadium d’une première coupe aux grandes oreilles. «Nous allons maintenant travailler pour dépasser cette frustration et pour donner envie aux joueurs de revenir jouer une finale de Ligue des Champions. Nous n’avons perdu qu’un match en Europe cette année, à dix contre onze et sur une décision suspecte (…) Nous avons beaucoup de jeunes. Cette équipe s’améliore, elle est très prometteuse», confiait Arsène Wenger plein d’espoir.

Pour continuer à progresser et pour revenir, pourquoi pas, en finale de la Ligue des Champions, les Gunners auront en tout cas besoin de leur buteur fétiche, Thierry Henry. S’il n’a pas marqué et même manqué deux grosses occasions, le Frenchy a beaucoup couru pour récupérer un ballon insaisissable ou presser la relance barcelonaise et a constamment encouragé ses jeunes partenaires. Une combativité qui fait plaisir à voir pour les fans des Bleus à trois semaines de l’ouverture de la Coupe du Monde. Courtisé par… Barcelone, l’ancien Monégasque n’est pourtant pas sûr de rester à Londres la saison prochaine. S’il n’a rien dévoilé de ses intentions, Arsène Wenger, lui, a déjà annoncé qu’il règlerait la question de l’avenir de son attaquant avant son départ pour la Coupe du Monde. «Nous avons besoin de lui pour continuer de progresser. Il a une influence très importante sur ses coéquipiers et il peut nous aider à devenir une grande équipe, qui compte en Europe.» Un peu comme le Barça en somme…


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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeSam 20 Mai - 0:40

Henry a resigné a Arsenal
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MessageSujet: Re: FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal   FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Icon_minitimeMer 13 Sep - 19:35

Je pense que c'est dommage pour Arsenal que Pires s'en aille dans cette situation il méritait une fin digne de lui !

Bien joué Pires pour tes exploits a Arsenal FINALE Champion's League: FC Barcelona vs Arsenal - Page 7 Thumbsu2
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