Actualité du Barça

Ce soir 20h : Deportivo Vs FC Barcelona

Messi veut 'se venger' du Deportivo à Riazor, après que les Galiciens aient contesté son temps de jeu…

Le Deportivo et le FC Barcelone s'affronteront ce soir à 20.00 h dans un choc d'équipes avec des débuts peu prometteurs en ce début de Liga, où l'équipe galicienne n'a remporté qu'une rencontre dans son fief et l'équipe catalane naviguant avec un jeu très critiqué.

Le FC Barcelone a besoin plus que jamais d'une victoire pour contenir et réduire l'important niveau de crispation qui s'est déroulé la semaine dernière au sein du club catalan, et la visite à Riazor se présente comme une bonne occasion pour que les Barcelonais calment leurs esprits. L'entraineur azulgrana, Frank Rijkaard, a opté à nouveau pour les rotations (Gio van Bronckhorst et Henrik Larsson), et a convoqué 19 joueurs. Il devra donc se séparer de l'un d'entre eux. L'entraineur a argumenté aujourd'hui qu'il ne sait pas dans quelles conditions arrivera le jeune argentin Lionel Messi de sa rencontre avec sa sélection.

La star émergente barcelonaise a également engendré une certaine tension entre les deux équipes parce que le Deportivo a également dénoncé l'alignement de Messi dans la rencontre FC Barcelone - Saragosse. Le choc contre le Deportivo n'arrive pas au meilleur moment de la saison pour le FC Barcelone, après un faible démarrage en succès. Situé en cinquième position avec huit points, à égalité avec le Depor, le Barça se trouve à cinq points de la tête après seulement 6 journées.

Le FC Barcelone se soumettra de nouveau à ses stars, Eto'o, Deco et Ronaldinho, ces deux dernières assez éteintes, jusqu'au point que lors du dernier déplacement du Barça, ils soient tombés de la liste et l'équipe catalane a aisément cartonné le Betis (1-4). Le repos de Gio devrait ouvrir les portes d'une place de titulaire à Sylvinho, tandis que les plus grandes incertitudes se centreront à nouveau dans l'axe du milieu du terrain, où il y a quatre joueurs aptes pour développer les fonction dans cette démarcation : Edmilson, Marquez et Van Bommel, auxquels s'unit Thiago Motta, réapparu.


Laisser en arrière les incertitudes

Le Deportivo de La Coruña reçoit le FC Barcelone avec l'intention de se recomposer en Liga avec une victoire, après la défaite face à Osasuna dans la dernière journée, qui a réveillé les incertitudes de la saison passée, des fantômes que les joueurs de Joaquin Caparros essayeront de séparer de leur chemin avec une victoire devant les Catalans, qui se sont imposés lors de leurs deux dernières visites à Riazor.

L'équipe galicienne veut devenir forte dans son stade, où jusqu'à présent elle n'est seulement parvenue à s'imposer que face à l'Atlético de Madrid, pour s'accrocher à la partie noble du classement, d'où elle est tombée après avoir fait 3 matchs nuls et subi une défaite de manière consécutive. Les blanquiazules se sont rendus compte qu'il leur en coûte, et beaucoup, de gagner devant leur public, surtout à cause du repli de ses adversaires lorsqu'ils se rendent à Riazor, bien que les conditions seront différentes du au jeu offensif du rival du jour.

L'entraineur blanquiazul a disposé hier après-midi d'un nouvel entraînement avec ses pupilles pour ultimer la manière de freiner l'équipe de Frank Rijkaard et obtenir une victoire qui lui résiste depuis plus d'un mois. Le préparateur andalou pourrait introduire des nouveautés dans la charnière centrale devant les azulgrana pour faire rentrer l'Argentin Fabricio Coloccini au détriment d'Enrique Romero, tandis que seraient maintenus dans la composition Manuel Pablo García, Jorge Andrade et Joan Capdevila. L'une des incertitudes qui pourrait se dissiper durant l'entraînement préalable à la rencontre face aux Catalans est celle du milieu du terrain, où en principe répéteront Aldo Duscher et Sergio Gonzalez, bien que Lionel Scaloni ait également des possibilités de jouer.


Fiche technique

Deportivo de La Coruña : Molina ; Manuel Pablo, Coloccini, Andrade, Capdevila ; Munitis, Sergio, Duscher, Rubén ; Valerón et Tristán.

FC Barcelona : Valdés ; Belletti, Puyol, Oleguer, Sylvinho ; Xavi, Marquez ou Van Bommel, Deco ; Giuly, Eto'o et Ronaldinho.


Arbitre : Undiano Mallenco (Comité navarrais).

Stade : Estadio Municipal de Riazor

Horaire : 20.00 h (18.00 GMT).

Source : Marca

AINSI EST LE RIVAL : DEPORTIVO


Caparros arme une équipe sans presque aucun renfort

GARANTIE DE SUCCES

Joaquin Caparros est arrivé l'été dernier au Deportivo après 5 saisons au Sevilla FC, équipe qu'il a qualifiée en coupe de l'UEFA. L'entraineur s'est retrouvé avec un Depor sans presque aucune ressource économique pour recruter de nouveaux joueurs. Pis encore, il a même vu comment le club transférait l'une de ses références : Luque. L'Uruguayen a été le seul renfort. Même ainsi, Caparros a réussi à confectionner une équipe solide capable de lutter à nouveau pour l'Europe.


La défense récupère son solide caractère

RECUPERA SU IDENTIDAD

L'une des clés de ce Deportivo dans les 6 premières journées de Liga a un rapport avec la défense. L'équipe galicienne a récupéré sa solidité d'antan, avec seulement 5 buts encaissés. Romero est devenu une pièce fixe au centre de la défense, avec le Portugais Andrade, et son poste est occupé par Capdevila, qui avec ses prestations, a gagné une place dans la dernière liste de Luis Aragonés. Duscher et Sergio ont également collaboré à défendre depuis le milieu du terrain.


Tristan et Munitis sont de nouveau importants

LA RECUPERATION

Après quelques saisons sans donner de signes de vie, le Deportivo a récupéré 2 joueurs qui en leur jour étaient importants pour l'équipe. Diego Tristan, qui a déjà marqué 3 buts, est de nouveau cet attaquant assassin qui l'a permis de devenir international. Munitis, pour sa part, a récupéré sa vitesse et est capable de déborder n'importe quel défenseur.

Traduction : http://www.fcbarcelonaclan.com/

Source : Mundo Deportivo

La thérapie du docteur Rijkaard

Le technicien a fait appel à ses hommes pour qu'ils effacent sur le terrain de jeu leurs émotions d'une semaine avec une tension démesurée. Le Néerlandais a exhibé une fois de plus ses dons de psychologue pour que ses hommes donnent le meilleur d'eux-mêmes…

La dispersion des joueurs du aux compromis internationaux a été plus accidenté que d'habitude. Tout d'abord, Deco s'est plaint de sa situation, Eto'o a postérieurement été éliminé du Mondial avec en prime une polémique Wome sur le penalty dans le temps additionnel que l'ancien Españolista n'a pas su transformer et, si cela n'était pas suffisant, Puyol a eu une rixe avec Vicente dans un entraînement de la sélection.

Rijkaard à de nouveau surpris en trouvant le côté positif de ces tensions et en disant que “nous pouvons utiliser toute cette énergie pour battre nos adversaires”.

Le Néerlandais est convaincu qu'il s'agit d'incidents ponctuels, qui ne doivent pas entraîner de plus grandes répercussions, ce pourquoi il a souligné qu' “il ne faut pas en donner plus d'importance. La situation n'est pas si grave qu'elle ne paraît. J'ai déjà dédramatisé et maintenant nous allons tous dans la même direction. Le plus important est de maintenir l'unité”.

Toutes ces polémiques, ainsi que celles qui ont entouré le club d'un point de vue plus institutionnel, ont complètement laissé dans un second plan la rencontre de ce soir devant le Deportivo. Rijkaard a relativisé à nouveau sur le peu d'importance qui a été donnée au duel face aux Galiciens et a rappelé que “ce n'est pas la première fois que l'environnement a davantage d'attention que le rival”.

L'entraineur barcelonais a fait ces réflexions lors de la conférence de presse préalable au déplacement, mais précédemment il a discuté en privé avec les joueurs et leur a tenu un discours semblable. Après avoir visionner une vidéo sur le Deportivo, Rijkaard a brièvement parlé avec ses hommes et leur a fait remarqué que l'équipe entame à présent une phase très importante de la saison, où ils doivent être mentalement pour surpasser toutes les adversités qui se trouveront sur leur chemin. Son discours a été bref et calme, comme d'habitude, mais il a impacté parmi les footballeurs.

Rijkaard : “Je ne ferai pas de changements tactiques face au Depor”

L'entraineur a expliqué que les grandes ou petites révolutions ne se verront pas encore à La Corogne. “Un moment important arrive car bientôt nous allons disputer 3 rencontres consécutives à la maison”, a prévenu l'entraineur…

Bien qu'après le nul face à Saragosse au Camp Nou l'entraineur Frank Rijkaard ait annoncé qu'il méditait sérieusement effectuer quelques retouches tactiques dans le but de surprendre le rival et que le président Joan Laporta lui-même ait approuvé quelques jours plus tard la décision de l'entraineur en assurant que l'équipe avait besoin d'un changement à la recherche de récupérer la dynamique gagnante, au bout du compte tout se déroulera comme avant. Du moins pour la rencontre au stade de Riazor, l'entraineur blaugrana a avancé qu'il n'avait pas prévu d'effectuer des retouches au tableau : “Il n'y aura pas de changements, du moins en principe”.

Il semble que changements soient prévus plus en avant, lorsque le FC Barcelone jouera au Camp Nou. Ce sera alors que l'on cherchera une formule magique qui permette de rompre le mur que mettent en place les adversaires qui visitent l'Estadi.

Par conséquent, sans changement tactique en vue, là où il maintient ses habitudes est dans les rotations. Le tour est venu pour cette occasion à Giovanni van Bronckhorst et Henrik Larsson. Pourquoi ? Rijkaard l'a expliqué hier en conférence de presse : “Les deux ont joué les deux rencontres complètes avec leurs sélections, c'est-à-dire, qu'ils ont joué 180 minutes”.

Celui qui se maintient dans la liste cette semaine est Lionel Messi, en dépit ne pas avoir pu s'entraîné de toute la semaine avec l'équipe. “Je l'emmène car j'ai parlé avec lui et il m'a dit qu'il se sentait bien. Il n'a joué que quelques minutes avec l'Argentine”, a expliqué l'entraineur à La Corogne.

Pour le des internationaux, il a expliqué qu'il les avait vus “très bien” et qu'ils sont “dans de pleines conditions pour jouer”.

Ainsi donc, Rijkaard a emmené 19 joueurs avec l'objectif prioritaire de gagner pour ne pas être décroché au classement. L'entraineur néerlandais reconnaissait que ce ne sera pas facile, puisque “jouer à Riazor est très compliqué”, surtout parce que “le Deportivo est un adversaire très difficile, qui a de grands joueurs et qui jouent à un bon niveau”.

L'empreinte imprimée par Joaquin Caparros, entraineur du Deportivo, commencent à se faire sentir, selon l'opinion du propre Rijkaard : “Ce n'est pas le même Deportivo qu'entraînait Irureta. Ils démarrent un nouveau projet et l'on remarque qu'ils vont avoir d'autres options pour s'améliorer”.

Jouer contre le Deportivo a l'avantage “de ne pas avoir à motiver les joueurs”, parce que “tous comprennent parfaitement que le Depor est une bonne équipe”.

Rijkaard a assuré qu'ils voyagent à La Corogne avec la conviction de “remporter les trois points” et qu'il attend que ses hommes donnent un coup d'effet à cette Liga en obtenant une victoire devant le Depor.


Calendrier favorable

Quoiqu'il en soit, l'entraineur néerlandais a rappelé que bientôt vont s'enchaîner trois rencontres au Camp Nou - Osasuna, Real Sociedad et Malaga -, ce pourquoi ils disposent d'une occasion unique pour gravir des positions au classement : “C'est ainsi que l'indique le calendrier. Je crois sincèrement que cela peut être un moment important pour nous de trouver un résultat et obtenir les neuf points en jeu”.

Il est évident que le FC Barcelone de Rijkaard a besoin d'une impulsion après un début irrégulier dans le championnat. Des six rencontres disputées, il en a gagné deux, fait trois matchs nuls et perdu une. Un bilan quelque peu préoccupant, surtout si nous tenons compte que lors des trois rencontres au Camp Nou cinq points se sont déjà échappés.

C'est pourquoi, Rijkaard pense sérieusement à la possibilité de faire une petite retouche tactique pour renforcer le milieu de terrain pour les rencontres qui se disputeront au Camp Nou. Dans les prochaines journées arrivent trois rencontres consécutives à l'Estadi pour que Frank polisse cette tactique.

Traduction : http://www.fcbarcelonaclan.com/
Source : Sport

15 octobre 2005 - 22h11 - Liga - Actualité - FC Barcelone
Deportivo - Barça : Impardonnable ! (3-3)

Le Barça s’est honteusement fait rattraper ce samedi soir au stade Riazor de La Corogne. Après avoir mené 1-3, les Catalans se sont fait rejoindre et concèdent le match nul.

Barcelone effectuait ce week-end une expédition du côté du Riazor afin de s’offrir le luxe d’une victoire. Les Galiciens, au parcours similaire à celui des Catalans, n’étaient cependant pas les premiers venus. Inutile pour eux de gamberger, l’objectif de ce soir était simple : forcer le destin et engranger le maximum de points face au champion en titre. On le sait, Barcelone est cette année encore l’équipe à battre. Une réputation parfois difficile à supporter…

L’enjeu du match était important. Les Blaugranas n’ont pas encore atteint leur vitesse de croisière et se trouvent encore loin du niveau de l’an passé. C’est pourquoi on attendait ce soir une prestation ambitieuse de la part du onze barcelonais. Une rencontre qui pourrait catalyser une série de victoires, surtout que les trois matches suivants se disputeront dans les entrailles du Camp Nou.

Ceci dit, Frank Rijkaard a pu composer sans grande difficulté son onze initial puisque tous les acteurs des matches de Coupe du Monde sont rentrés dans les délais. Ainsi, Victor Valdés occupait les buts ; Belletti et Sylvinho les flancs ; Puyol et Oleguer la défense centrale ; Xavi, Marquez et Deco dans l’entrejeu ; et enfin Giuly, Ronaldinho et Etoo dans le secteur offensif.

Malgré la bonne volonté catalane, le match ne pouvait plus mal commencer puisque les Galiciens ouvrirent le score dès la 9è minute de jeu. Une frappe de Munitis essuya le poteau droit de Victor Valdés, mais le ballon retomba dans les pieds de Valerón. Le joueur espagnol n’eut aucun mal à pousser le ballon au fond des filets et offrir ainsi le premier but du match à son équipe.

Le Barça eut beaucoup de mal à se remettre sur pied après cette réalisation si rapide. Ainsi, les Blaugranas mirent une mi-temps entière avant de se refaire une santé. La situation se débloqua grâce à Samuel Eto’o peu avant la pause. L’attaquant camerounais combina en une-deux avec Deco avant de frapper avec sans froid devant Molina. Un but exceptionnel et de grande classe qui permit au Barça de revenir dans le match. C’est déjà le septième but de l’attaquant africain cette saison !

Comme un bonheur ne vient jamais seul, Barcelone doubla la mise quelques secondes plus tard. Alors que s’écoulaient les minutes des arrêts de jeu, Ronaldinho effaça son défenseur avant de conclure de l’extérieur du pied. Second golazo de la soirée ! Les deux formations rentrèrent aux vestiaires sur ce score de 1-2. Le Riazor, bien excité, devint muet.

Le Barça aux anges

L’entame du second acte fut marqué par un penalty indiscutable sur Deco. Le portier Molina, les pieds en avant, accrocha le milieu de terrain portugais à la 50è minute en pleine surface de réparation. La tâche d’inscrire la peine suprême revint logiquement à Ronaldinho qui, d’un tir puissant et savamment placé, assurait au Barça une avance très confortable de deux buts.

Barcelone pensait alors avoir fait le plus dur. Avec trois buts en déplacement, le travail semblait terminé et le match bouclé. Mais c’était sans compter la passivité de l’équipe et la médiocrité de la défense. En moins de vingt minutes, le Depor recolla au score...

Honteux

Ce Barça là ne pourra rien gagner commentant des erreurs pareilles. La fin du match fut, osons le dire, lamentable. L’équipe n’a pas su tenir une victoire quasiment acquise. A la 70è minute Munitis déjoua la défense barcelonaise et plaça un frappe enroulée en pleine lucarne. Valdés, trop avancé, et la défense, complètement à la masse, étaient les principaux coupables. Mais la faute doit revenir à toute l’équipe. C’est l’ensemble du groupe qui a laissé s’échapper les trois points...

A cinq minutes de la fin du match, une action offensive similaire à celle du premier but permit au Deportivo d’arracher le match nul. Le tir de Taboada frappa le montant mais le ballon revint dans les pieds de Ruben, qui n’eu aucun problème à conclure. C’est fois-ci, le Riazor a pu laisser exploser sa joie…

Impardonnable !

Le Barça a montré deux visages complètement opposés ce soir. D’une part celui de la fin de la première période, avec des actions de génies et des exploits individuels. Et de l’autre celui d’une équipe avec de graves lacunes, surtout défensives. A quoi bon sert de mettre trois buts si c’est pour en encaisser autant… ? Quel gâchis !

Fiche technique

Deportivo: Molina; Manuel Pablo, Andrade (Juanma, 33'), Coloccini, Capdevila; Sergio, Duscher, De Guzmán, Valerón (Rubén, 56'), Munitis et Tristán (Taboada, 53').

FC Barcelone: Valdés; Belletti, Oleguer, Puyol, Sylvinho; Xavi, Márquez (Edmílson, 45'), Deco; Giuly (Ezquerro, 75'), Eto'o et Ronaldinho.

www.FC-Barcelone.com

Laporta donnera des explications demain sur le 'cas Echevarria'

Le président du FC Barcelone, Joan Laporta, offrira demain une conférence de presse à 12.30 pour donner des explications sur la prétendue appartenance du dirigeant responsable de la sécurité du club, Alejandro Echevarria, à la Fundación Francisco Franco (FFF)…

Les dirigeants du FC Barcelone ont débattu cet après-midi cette affaire dans une réunion qui correspondait initialement à celle que mène de manière hebdomadaire la commission déléguée, mais à laquelle se sont ajoutée d'autres membres de la direction.

La réunion au sommet a eu lieu dans les installations du club et a duré plus de deux heures, de 17 à 19 h, bien que les membres avec le plus de poids - Laporta, Echevarria, Alfons Godall et Ferran Soriano - aient continué à débattre sur le sujet jusqu'à peu après 20 h.

La polémique sur le 'cas Echevarria' a commencé la semaine dernière, après que l'ancien dirigeant azulgrana Lluis de Val ait dévoilé, avec des documents du Ministère de la Culture, la prétendue appartenance d'Alejandro Echevarria, beau-frère de Laporta et responsable de sécurité azulgrana, à la FFF.

Echevarria a comparu il y a quelques jours devant les médias pour montrer, sans admettre de questions, un document de la FFF elle-même dans lequel elle nie son affiliation à cette association depuis peu avant la célébration des élections à la présidence du Barça, en 2003.

Laporta a nié devant l'assemblée des socios compromissoires la relation entre son beau-frère et la FNFF.

Traduction : http://www.fcbarcelonaclan.com/
Source : Sport

La deuxième démission du franquiste Alejandro Echevarría est acceptée



La deuxième c'est la bonne: douze heures après que Laporta ait annoncé qu'il allait continuer à assumer son mandat, Alejandro Echevarría présente finalement sa démission et cette fois, Joan Laporta et le Conseil d'administration l'ont accepté...

Alejandro Echevarría, qui jusqu'à hier était membre du Conseil d'Administration du F.C.Barcelona et responsable de la sécurité ainsi que du bureau d'attention au joueur, a présenté hier sa démission irrévocable, en voyant que la conférence de presse fait hier par le président Joan Laporta ne calmait pas les esprits des culés du fait de sa relation passée avec la Fondation Nationale Francisco Franco.

Alejandro Echevarría, qui se trouvait au Casino de Tarragona est entré en contact hier soir avec son beau-frère et président du F.C.Barcelona, pour lui communiquer sa décision irrévocable de démissionner. Joan Laporta qui se trouvait sur les plateaux de TV3 pour participer au programme "La Nit al Dia" l'a accepté et quelques minutes plus tard, l'a annoncé officiellement devant les caméras.

"Alejandro est entré en contact avec moi et dans un sursaut de dignité et d'amitié, il m'a présenté sa démission. A présent je la ferais parvenir aux autres membres du Conseil d'administration, mais je peux d'ores et déjà annoncer que nous allons l'accepter. La situation était devenue invivable et nous comprenons que c'est la meilleure solution pour tous" a annoncé Joan Laporta, qui douze heures plus tôt s'était rendu face aux moyens de communication pour tenter d'expliquer la situation. Ses paroles n'avaient convaincu personne et tout au long de la journée, les critiques ont continué à fuser de tous les cotés. De fait, de toutes les enquêtes qui avaient été réalisées, la majorité écrasante demandait la démission immédiate d'Echevarria.

"Ma volonté était qu'il ne démissionne pas" a insisté Laporta. "C'est un homme qui s'est parfaitement intégré au projet que je préside, puisqu'il nous permettait de mettre en pratique le pluralisme et la tolérance que nous avons toujours défendu" a ajouté le président blaugrana. "Echevarria est une personne appréciée dans le vestiaire et je dois rappeler que c'est grâce à lui que Messi a pu obtenir la nationalité espagnole".

Après avoir remercié le reste du Conseil d'administration pour son soutien, Joan Laporta a ajouté "que les aspects économiques et familiers ne sont pas entrés en compte dans cette prise de décision. Mon indépendance économique est totale et j'aurais fait ce que j'ai fait, pour n'importe quel membre de notre direction qui l'aurait mérité".

Avant de quitter le plateau, le président blaugrana a annoncé que "je ne me sens pas menacé, je suis tranquille, avec la conscience tranquille au moment de faire le travail qui doit être fait. Je n'ai aucun intérêt à m'accrocher au pouvoir. Je suis de la plus grande culture démocratique".

Source: Sport - Mundo Deportivo - F.C.Barcelona.com - AS
traduction: FCB CLan

Xavi le cinquième « culé » nominé au ballon d’or

Deco, Ronaldinho, Eto’o et Van Bommel complètent la liste des joueurs blaugrana nominés parmi les 50 joueurs choisit par « France Football » pour le prix du ballon d’or 2005.

Le FC Barcelone sera l’un des clubs les mieux représentés dans cette liste de 50 joueurs, candidats au ballon d’or de « France Football », titre qui avait injustement échappé à Deco l’année dernière au bénéfice d’Andrei Shevchenko. Le Barça aura cinq candidats : Deco, Ronaldinho, Xavi, Eto’o et Mark Van Bommel, ce dernier a été choisit pour sa formidable saison avec le PSV Eindhoven.

Xavi Hernandez est l’agréable surprise de ce quintin blaugrana. Le natif de Terrassa, actuellement le deuxième joueur blaugrana a avoir disputé le plus de rencontres européennes (73), se voit ainsi récompensé pour son excellente saison.

Autre surprise, c’est la non-nomination, une nouvelle fois de Carles Puyol, le défenseur international qui n’a pas été retenu par « France Football », tout comme Rafael Marquez, qui fut l’auteur d’une grande année au Barça, mais aussi en sélection mexicaine avec laquelle il a réussi à se qualifier pour la phase finale du Mondial 2006 en Allemagne.

Quatre Blaugrana

Il n’y a aucun doute que Ronaldinho Gaucho figure parmi les favoris du titre de ballon d’or, titre qu’ont reçu les barcelonais Luis Suarez (1960), Johan Cruyff (1974), Hristo Stoichkov (1994) et Rivaldo (1999). Pour Ronaldo (1997) et Luis Figo (2000), qui l’ont reçu en étant joueur de l’Inter et du Real Madrid, ils avaient joués avec le Barça en début d’année. Le ballon d’or sera élu publiquement le 18 novembre à Paris ; un gala organisé par Canal Plus fêtera les 50 ans du prix.

Le mardi qui vient, « France Football » officialisera sa liste des 50 noms qui comptent beaucoup de favoris : Ronaldinho, Deco, Eto’o, Shevchenko, Lampard, Drogba, Adriano, Kaka, Ballack, Henry, Beckham, Vieira et Gerrard apparaissent comme les mieux placés pour remporter ce prix tant convoité ; le jury parmi lequel figure notamment « El Mundo Deportivo » devra trancher. Paolo Maldini sera le candidat emblématique de cette année puisqu’il n’a jamais reçu (pour l’instant) le ballon d’or

Source : http://www.elmundodeportivo.es
traduction: FCB Clan

Le F.C.Barcelona demande la démission du vice-président de la LFP

Le F.C.Barcelona a demandé à la LFP (Liga de Fútbol Profesional), la démission de son premier vice-président, Javier Tebas. En effet, le Club blaugrana soutient que Tebas ne peut cumuler les fonctions de dirigeant de la LFP et d'assesseur juridique de l'Alavés, dans l'affaire Messi...



Le Barça contre-attaque dans l'affaire Messi. Après avoir du faire face aux recours de l'Alavés et du Deportivo, le Club catalan a décidé de contre-attaquer en saisissant les membres de la Commission Déléguée de la LFP, afin de demander la démission de son vice-président Javier Tebas. En effet, il est difficilement concevable que Javier Tebas soit dans l'affaire Messi, "juge et partie".

Le Club a fait part de sa demande à la LFP dans une réunion qui a eu lieu lundi dernier à Madrid, l'information ayant été rendue officielle aujourd'hui par le Club. Le F.C.Barcelona se réserve malgré tout le droit d'entamer des actions légales aussi bien au niveau disciplinaire que judiciaire, concernant le Deportivo de la Coruña et le Deportivo Alavés dans l'affaire Messi.

Rappelons qu'aussi bien l'Alavés que le Depor ont exercé des recours contre le 11 initial qui avait été aligné par Rijkaard face à Zaragoza au Camp Nou, avec la présence de Messi chez les blaugranas. De plus, l'Alavés conseillé par Javier Tebas a annoncé qu'il continuera à exercer des recours à chaque fois que Messi jouera avec le Barça en Liga. Pourtant, le Comité de Compétition de la Real Federación Española de Fútbol ait rejetté leurs recours.


Source: Sport - Mundo Deportivo
Traduction : FCB Clan

Revue de presse suite à la démission d'Alejandro Echevarria

Alejandro, le sixième

• Echevarría suit le chemin des 5 dirigeants qui ont quitté le club en juin, bien que pour des motifs différents

• « Il y a des personnes intéressés à m'atteindre », dit Laporta

Les dirigeants échappent à Joan Laporta. En 2 ans et 4 mois, 6 sont déjà partis. Mais aucun des 5 premiers n'a autant de valeur symbolique pour le président du Barça qu'Alejandro Echevarría. Cette nuit, l'une des personnes qui ait été le plus proche est partie. Rien de comparable avec le départ de Sandro Rosell, Jordi Monés, Jordi Moix, Josep Maria Bartomeu et Xavier Faus. Le président a perdu un pilier de la direction par ses liens familiaux et par l'importance croissant qu'il avait acquis au sein du club.

La nouvelle, par SMS

Précisément par ses liens, Laporta l'a défendu dans la matinée contre vents et marées, au plus mauvais moment de son mandat. Sans savoir que le pire n'était pas encore arrivé. Le pire lorsqu'Echevarria l'a appelé pour lui dire qu'il partait. Qu'il se rendait. Qu'il n'en pouvait plus. Et Laporta, qui a passé la journée en compagnie de nombreuses personnes, a du se sentir bien seul. Plus que jamais. Après le départ du clan roselliste, loin d'en sortir fortifié, la direction est restée dans une situation précaire.

Alejandro, en revanche, mastiquait depuis des heures sa solitude. On l'a vu à Athènes, mais pas au Camp Nou. Ceux qui ont partagé ces heures avec lui dans la capitale grecque disent que, derrière cette image, se cachait un homme abattu. Sans énergie, sans envies. En réalité, Echevarría voulait déjà partir vendredi. Cette résistance est tombée cette nuit lorsque le dirigeant a appelé qu'il ne supportait plus ça.

Alors, après avoir raccroché, Laporta a écrit un SMS qu'il a envoyé au reste de la direction communiquant l'abandon d'Alejandro. A ce moment là, la valeur des paroles prononcées dans la matinée a été fulminée. Plus rien n'avait de sens pour Laporta. « Echevarria n'est pas un franquiste », avait dit le dirigeant avant de savoir que ses derniers efforts étaient vains. « Je le remercie d'avoir pensé au Barça avant lui. Mission accomplie », a dit Luis de Val, l'ancien dirigeant de Joan Gaspart, celui qui a fait état avec documents à la main qu'il appartenait à la Fundación Francisco Franco. Pas même 15 jours ne sont passés et Echevarria n'est plus là. « Ici, il n'y a pas de fond. Il y a des personnes qui veulent me déstabiliser ». Cette déstabilisation a déjà emporté Echevarria et a laissé plus que jamais seul Laporta. Le sixième était pour lui le plus important.


Source : www.FC Barcelona.com
Traduction : http://www.fcbarcelonaclan.com/


Le Barça reconnaît que la démission d'Echevarría "est un soulagement"

La direction du FC Barcelone, après avoir officialiser le départ d'Alejandro Echevarria, a admis l'effort souffert par Joan Laporta après toute cette polémique…

Xavier Cambra, porte-parole de la direction, a admis vendredi que la décision d'Echevarria s'est transformée en "un soulagement pour l'institution". Cambra, qui a comparu après la réunion de la direction qui a acceptée la démission du beau frère de Joan Laporta, a reconnu l'épreuve du président, et également celui du club et de l'ensemble des dirigeants.

Les dirigeants espèrent à présent que "les événements vont reprendre leur cours" avec la démission d'Alejandro Echevarría et attendent que le plébiscite sur cet événement qui est prévu au Camp Nou au moment de la rencontre face à Osasuna soit avorté et que le public se dédiera uniquement à soutenir les joueurs.

"Pour notre part, nous considérons tout cela comme bouclé et espérons que cela soit ainsi pour le bien de l'équipe. Demain, ce qui me convient est de gagner, que les footballeurs se sentent soutenus par les socios et notre intention est d'aller de l'avant et que si nous n'avons pas fait les choses correctement, d'y réfléchir plus en avant", a ajouté Xavier Cambra.

Cambra a nié que lui ou un autre membre de la direction ait été gêné par la défense publique de la continuité d'Alejandro Echevarria vendredi à la mi-journée et, douze heures plus tard, que, l'à présent, ancien dirigeant ait présenté sa démission. "La direction a fait ce qu'elle estimait bon de faire", a manifesté le porte-parole de la direction, qui a confirmé qu'Echevarría quittait totalement le club.

Le porte-parole du FC Barcelone a également nié qu'un dirigeant ait envisagé son départ dans le cas où Alejandro Echevarría se serait maintenu à son poste, à qui ils devront trouver un remplaçant pour respecter le minimum de mandataires indiqué par les statuts du club. "Nous attendons un climat plus calme pour couvrir cette vacante", a signalé Xavier Cambra, qui a lu un communiqué où il remerciait l'ancien dirigeant pour son "excellent travail réalisé en matière de sécurité et d'attention au joueur -ses deux fonctions-, ainsi comme son constant et plein engagement".

Source : www.Sport.es
Traduction : http://www.fcbarcelonaclan.com/



De Val considère comme bouclée la polémique après la démission d'Echevarria

Lluis de Val, ancien dirigeant du FC Barcelone qui s'en est pris ces derniers jours au président du club, Joan Laporta, et à son beau-frère Alejandro Echeverría, s'est félicité aujourd'hui de sa démission et a donné comme définitivement "bouclée" la crise institutionnelle qui a déboulé sur l'affiliation politique de l'ancien dirigeant…


De Val, l'un des protagonistes de la polémique après avoir 'personnifié' une accusation contre Laporta et Echevarria en démontrant que le beau-frère du président prenait part à la Fondation Nationale 'Francisco Franco', a déclaré qu'avec les adieux d'Echevarría "il considère cette question comme bouclée" et a félicité l'ancien dirigeant parce que "avec son départ, Echevarria a fait une faveur au club, car sa continuité aurait divisé le Barcelonisme", a-t-il ajouté. De Val a insisté que sa position ne répond "à aucune campagne orchestrée" et que sa posture est "totalement indépendante".

De plus, il a souligné que la démission d'Echevarría, malgré qu'elle soit l'un de ses objectifs, "n'est pas une victoire personnelle, sinon celle des socios du Barca".

"La seule chose que je voulais c'est qu'ils admettent qu'ils se sont trompés, car ce que ne peut jamais faire un président du Barca est de mentir à l'assemblée des socios compromissoires", a-t-il précisé.

A l'heure de donner son opinion sur le surprenant changement de discours de Laporta (dans la matinée il a ratifié son beau frère, mais au milieu de la nuit il a accepté sa démission), De Val croit que la raison doit se trouver chez "un dirigeant qui lui a fait reconsidérer sa position" et "l'énorme écho qu'au eu la conférence de presse" qu'il avait offerte pour défendre son beau-frère.

"Je suppose également qu'il a valorisé les protestations qui s'organisaient pour la rencontre face à Osasuna", a ajouté De Val.

Ainsi, De Val a demandé à Laporta un exercice d'autocritique et a précisé que si le président "aurait été hors du club, il aurait agi de la même manière que moi sur ce cas". Quoiqu'il en soit, l'ancien dirigeant s'est montré ouvert à l'idée qu'Echevarria continue de travailler "comme collaborateur" pour le FC Barcelone.

Il a également tendu la main à Laporta pour mener à bien un sommet "avec le président et Echevarría. S'ils le veulent, je suis disposé à m'asseoir avec eux et discuter sur ce sujet", a-t-il promis.

Sans désir d'ouvrir un autre front, De Val a également rappelé que Laporta devrait assumer en quelques mois une autre affaire épineuse, celle de la date des élections.

"Je suis convaincu qu'elles doivent se dérouler en mars 2006. Je ne ferai aucune campagne pour cette date et je ne me présenterai pas, mais je suppose qu'il y en aura qui travailleront pour démontrer que les statuts indiquent des élections en 2006", a-t-il dit.


Source : www.Sport.es
Traduction : http://www.fcbarcelonaclan.com/



La pression de l'environnement

• Echevarria a pris la décision de démissionner lorsqu'il a eu connaissance de la pancarte des Dracs au Palau et de l'indignation des socios qui ont téléphoné aux programmes de radio…

Alejandro Echevarría a voyagé jeudi après-midi à Tarragone convaincu que sa continuité au Barça était possible. Joan Laporta, son beau-frère, avait exercé d'avocat défenseur devant les médias et tant lui comme le reste de la direction du Barça ont compris, bien qu'avec une légère méfiance, que l'incendie au sein de l'environnement pouvait être éteint parce qu'ils croyaient que le discours de Laporta avait été convaincant. Mais la stratégie a raté. La nouvelle situation qui maintenait la continuité du beau frère de Laporta a été mal mesurée après la confirmation qu'il a été membre de la Fondation Nationale Francisco Franco.

Echevarría, étranger à tout ce remue-ménage qui se déroulait dans les analyses radiophoniques dans l'après-midi, se disposait à assister, accompagné par des amis, à l'inauguration du nouveau Casino de Tarragone. Echevarría a voulu être aux côtés de la famille Suqué, avec laquelle une bonne amitié l'unit, dans la présentation au public du quatrième bijou du groupe après les casinos de Barcelone, Lloret et Perelada.

Crispation dans les émissions

Mais l'après-midi, loin d'être détendue, n'a pas été calme. Son téléphone mobile n'a pas arrêté de sonner. On l'appelait depuis Barcelone pour lui communiquer que la tension était encore insoutenable dans les émissions radiophoniques. On lui a expliqué que les socios et les supporters appelaient les programmes qui ouvraient leurs lignes téléphoniques se sentant indignés, demandant y compris la démission de Laporta, qu'ils traitaient de "menteur et de franquiste" pour avoir défendu la continuité de son beau-frère.

Ce fût alors lorsque Echevarría a compris l'usure que supposait pour Laporta sa présence dans la direction et il a commencé à méditer son avenir. La décision finale de démissionner a été influencée par deux nouvelles informations qui lui sont arrivées depuis Barcelone. La première a été la pancarte exhibée au Palau par les membres de la Penya Dracs, durant la rencontre de basket-ball Barça-Fuenlabrada, sur laquelle on pouvait lire : "Pour la mémoire de Josep Sunyol et celle de nos grands-pères, cessez de salir le nom de notre club".

Echevarría, qui connaissait l'enquête dans laquelle 60% des culés demandait la démission de Laporta s'il le maintenait dans la direction, a alors eu la certitude que la rencontre contre Osasuna se transformerait en un plébiscite contre sa personne et qu'elle nuirait au club. Echevarría, tout comme le reste des dirigeants, connaissait également les messages SMS qui couraient sur Barcelone, incitant les socios à remplir le Camp Nou de senyeres en signe de protestation.


Messages à Puyol et Eto'o

Mais le geste qui a rompu l'assurance démontré par Echevarría jusqu'à alors a été la sensation qu'un secteur de la direction, catalaniste, mené par Toni Rovira, doutait, pressé par l'opinion publique, d'avoir pris la sage décision en soutenant inconditionnellement sa continuité dans la matinée. Ce fut alors lorsque le dirigeant responsable de la sécurité a téléphoné, à 23.10 heures, à son beau-frère et lui a présenté sa démission. Laporta la lui a acceptée. Echevarría a ensuite téléphoné au vice-président Ferran Soriano et a envoyé un message SMS au capitaine Puyol et à son ami Eto'o.

Echevarría était présent hier pendant une heure dans la réunion que la direction a tenue le matin. Ce fut à ce moment là qu'il a fait ses adieux à ses collègues, puisqu'il est totalement délié du club. Donc, sans lui, la direction a déjà décidé d'entamer une campagne destinée à relancer le sentiment catalaniste du club pour résister aux attaques reçues. On vivra aujourd'hui le premier chapitre avec l'arrivée du Correllengua 2005 au Camp Nou.


Traduction : http://www.fcbarcelonaclan.com/
Source : El Periodico

Tixiki a assuré hier sur la radio RAC-1 que le club avait déja entamé les démarches nécéssaires pour que Eto'o et Marquez deviennent communautaires dans un futur proche et Ronnie le sera aussi un peu plus tard.
il a également dit que Eto'o ne disputera pas de match avec le Barça pendant la Coupe d'Afrique des Nations car le joueur n'aura pas un bon rendement et ca ne serait pas une bonne chose car le Barça aurait alors l'air de dépendre uniquement de Eto'o en attaque ce qui n'est pas le cas.

Ronaldinho sera communautaire

Txiki: « Eto’o et Marquez sont en train de traiter leurs papiers, Ronaldinho le fera ».


Txiki Begiristain, secrétaire technique du Barça, a révélé hier soir à « Tu diras » une émission diffusée sur la RAC-1, que la direction du Club prévoit déjà la nationalisation de Ronaldinho. « Le club suit actuellement les avancées du processus afin que Marquez et Eto’o soient considérés comme étant des joueurs communautaires et Ronaldinho aussi ».

Txiki a admet que: « Messi nous a surpris. Je le comparerais à Lopez Ufarte, mais à une autre époque: c’était dans les années 70 à la Real Sociedad. C’est diffile de trouver un autre joueur aussi décisif à son âge ».

Au sujet de la participation de Samuel Eto’o à la Coupe d’Afrique des Nations avec sa sélection nationale, Txiki a voulu rassurer tout le monde: « Il ne jouera avec nous lorsqu’il sera en Afrique. Cela ne serait pas bien, car le Barça ne doit pas donner l’impression de dépendre uniquemenr d’un joueur. Il manquera probablement 4 ou 5 matchs ».

Begiristain croit aussi que la Juventus et Chelsea sont les meilleures clubs d’Europe avec chacun un style de jeu bien distinct, malgré tout le Barça peut les surpasser.

Pour le cas Victor Valdes, Txiki pense que : « Il ne doit pas être obsédé d’être le joueur le plus sympathique. Il est efficace, il donne un rendement spectaculaire, même s’il commet parfois des erreurs ».

Le secrétaire technique prévoit: « En Janvier il n’y aura aucun recrutement, mais il est toutefois possible d’avoir des prêts. Il manque aussi un joueur en milieu défensif sous contrat jusqu’en 2010.…ce sont les cas de Marquez, Edmilson et Motta; ils doivent gagner leur continuité au club ».

Source: El Mundo Deportivo
Traduction: FCB Clan